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Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 21 novembre 2021: la France entre chien et loup…

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 21 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

Alors que la France est encore entre chien et loup, les loups sont déjà à nos frontières.
Europe centrale et Europe de l’Est ont déjà basculé vers une reprise de la pandémie qui semble sans limites.
En France, le rebond s’est véritablement enclenché et pour le département de la Vendée la reprise est réellement sensible.

Que penser de cette situation ? Un relâchement d’abord. Malgré les avertissements répétés, les gestes barrières n’ont pas été respectés. Dire que c’est la vaccination qui a entraîné cela car les gens se sont sentis bien trop tôt comme libérés !
Ensuite, la vaccination n’est plus la panacée que certains pensaient avoir découvert. Son effet se réduit dans le temps, ce vaccin n’ayant pas d’effet permanent comme d’autres.
La France, et quatre à cinq autres pays résistent à l’invasion; cela serait dû au retard pris par notre pays en raison des problèmes d’approvisionnement de vaccins que nous avons connus. Voilà bien le seul élément positif que certains veulent reconnaître aux affaires des masques et des vaccins !
De là à y voir une manipulation politique à quelques mois de l’élection présidentielle….

Restons optimistes, mais il y a de fortes chances que la France voit ses courbes négatives prendre de l’ampleur durant l’hiver.
Seuls le printemps et une réduction avec le temps de la virulence du virus laissent présager des temps plus radieux. En attendant, réduisons les regroupements et les déplacements autant que faire se peut.
Là réside le salut, bien plus que dans des confinements ou des restrictions.

Concernant les statitisques, on notera:
– un rebond France à 144
– des hospitalisations et entrées en soins critiques encore maintenues
– des ratios tests positifs et réanimations de x4 ou x5 entre les personnes vaccinées et les non-vaccinées (et non x9)
– un fort rebond de la reproduction effective
– des décès contenus
– des taux d’occupation contenus

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

FRANCE

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée au 18 novembre 2021: en Vendée le rebond prend forme

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 18 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

 

FRANCE

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Vendée France. BREXIT Pêche: les sénateurs en colère s’emparent du dossier (Rédaction Les Sables-d’olonne)

 




 

Pêcheurs français otages du Brexit: les sénateurs en colère se mobilisent

La section « pêche et produits de la mer » rattachée à la commission des affaires économiques du Sénat ainsi que la commission des affaires européennes dénoncent l’impasse où se trouvent les négociations sur l’accès des pêcheurs français aux eaux britanniques et la reculade du Gouvernement qui, après avoir brandi des rétorsions – interdiction de débarques de poissons – envers le Royaume-Uni pour refus de donner accès à ses eaux, a préféré la « désescalade », selon les mots du président de la République en fin de semaine dernière, au G20 de Rome.

L’accord de commerce et de partenariat euro-britannique conclu le 24 décembre 2020 autorise les pêcheurs à continuer de pêcher dans les eaux britanniques et notamment dans la zone des 6-12 milles, près des côtes, pour autant qu’ils puissent prouver y avoir pêché les années précédentes. Or, le Royaume-Uni et les îles anglo-normandes se montrent excessivement pointilleux dans l’interprétation de cette règle de continuité – « clause du grand-père »-, exigeant des justificatifs en pratique impossibles à fournir par les petites pêcheries françaises. Ce zèle cache mal la mauvaise foi britannique, imputable à une revendication de souveraineté avant tout symbolique, la grande majorité du poisson consommé outre-Manche n’étant pas pêché dans les eaux britanniques.

Sans méconnaître le discours de fermeté et les actions entreprises par la ministre de la Mer, Annick Girardin, et le secrétaire d’État chargé des affaires européennes, Clément Beaune, avec lesquels la commission des affaires européennes est en dialogue régulier sur le sujet, les sénateurs regrettent que les sanctions dites « croisées » – pouvant concerner d’autres secteurs que la pêche – n’aient pas été appliquées comme envisagé. Ils déplorent aussi l’absence de prise de parole publique de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et, plus étonnant encore, du commissaire européen à l’Environnement, aux Océans et à la Pêche, Virginijus Sinkevičius, que la commission des affaires européennes a auditionné dès avril dernier. « L’accord sur la pêche est euro-britannique, non franco-britannique. En toute logique, c’est à l’Union européenne de faire respecter sa signature sur la scène internationale, à l’heure où elle se donne pour ambition de devenir une « Union géopolitique » », déplore Jean‑François Rapin, président de la commission des affaires européennes.

« Je trouve aberrant que le Brexit conduise à remettre en cause l’accès des pêcheurs français aux eaux des îles anglo-normandes, dans la mesure où ces dernières, ayant toujours bénéficié d’un régime spécifique, n’ont jamais relevé du droit de l’Union », estime Alain Cadec, président de la section « pêche et produits de la mer » et ancien président de la commission de la pêche au Parlement européen de 2014 à 2019, qui n’exclut pas un retour, dans le cadre d’un gentleman’s agreement, aux termes de l’accord de Granville de 2004, abrogé par l’accord euro-britannique.

La présidente de la commission des affaires économiques Sophie Primas indique que « les commissions des affaires économiques et des affaires européennes du Sénat, soucieuses de l’avenir de la filière pêche, de l’impact du Brexit sur les territoires et de la crédibilité de l’Union européenne, ont entrepris de travailler sur l’application effective de l’accord de pêche euro-britannique. » La section « pêche et produits de la mer » entame ainsi un programme d’auditions des principaux spécialistes et acteurs concernés afin de dégager des solutions pérennes. Elle présentera ses recommandations aux commissions des affaires économiques et des affaires européennes à la mi-décembre.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

Vendée France Santé. Bruno Retailleau pour une Commission d’enquête sur l’hôpital et le système de santé français (Rédaction Les Sables-d’olonne)

 




 

Proposition de résolution de Bruno Retailleau et les membres du groupe Les Républicains, apparentés et rattachés, Sénatrices et Sénateurs
tendant à créer une commission d’enquête sur la situation de l’hôpital et le système de santé en France

La situation médicale extrêmement préoccupante dont souffre la Vendée n’est en effet pas un cas à part. Opérations déprogrammées, délais de rendez-vous de plus en plus longs, manque de personnels soignants, manque d’argent alors que nos dépenses de santé sont parmi les plus élevées des pays occidentaux…

La médecine française est à bout de souffle, dans les hôpitaux, mais aussi dans les cabinets de médecins, en ville et dans les zones rurales où les déserts médicaux se multiplient.

En résumé, France n’est plus en état de proposer à l’ensemble de sa population les moyens de rester en bonne santé et d’avoir un accès à une offre de soins normale.

C’est pourquoi, à la demande de Bruno Retailleau, la commission d’enquête du Sénat va ausculter les nombreux dysfonctionnements du système médical pour proposer une refonte globale du modèle français.

(La proposition de résolution a été envoyée à la commission des affaires sociales.)

« Les mesurettes ne serviront à rien, c’est une révolution médicale dont la France a besoin, d’autant plus que les risques épidémiques se multiplient et que les caisses de l’Etat sont vides.

Il s’agira pour les sénateurs et les sénatrices de définir les conditions pour trouver de nouvelles formes de financement, débureaucratiser l’hôpital, mieux répartir l’équilibre entre la médecine publique et la médecine privée, améliorer la rémunération des soignants, adapter la formation des étudiants et attirer des médecins dans les déserts médicaux. Un objectif : que l’efficacité et la proximité deviennent les nouveaux piliers du système de soins français » a déclaré Bruno Retailleau

 

Exposé des motifs de la proposition de résolution déposée:

Mesdames, Messieurs,

Aujourd’hui, l’objectif prioritaire de tout système de santé doit être un accès à la santé pour tous, autour de deux axes : le maintien en bonne santé de la population et l’accès aux meilleurs soins pour tous.

Depuis plusieurs mois, sous l’effet de l’épidémie de Covid-19, les projecteurs sont braqués sur les tensions rencontrées à l’hôpital public. En réalité, cette mise sous tension a de multiples origines : managériales, organisationnelles, financières et la réponse apportée à chaque crise ne s’est faite qu’à travers une succession de plans d’urgence ou de plans de soutien ponctuels sans qu’aucune réforme structurelle ou globale n’ait été proposée.

La santé vit en France sur un modèle à bout de souffle. La crise que traverse l’hôpital public n’est qu’un des symptômes d’une crise qui touche l’ensemble de la santé en France. L’accès aux soins est devenu de plus en plus difficile depuis plusieurs années : carence en personnel soignant, soins déprogrammés à l’hôpital, délai d’attente de plus en plus long pour avoir un rendez-vous en médecine de ville sur l’ensemble de notre territoire, difficultés à trouver un médecin généraliste référent et les déserts médicaux en progression constante.

Notre système de santé est désorganisé, suradministré et géré depuis des décennies dans une logique d’intégration publique. Ajoutons qu’il n’est plus correctement adapté à la gestion d’un risque santé qui évolue et qui est désormais caractérisé par les pathologies chroniques et des nouvelles technologies favorisant une prise en charge en ambulatoire.

Ce constat est d’autant plus alarmant que les dépenses de santé en France sont plus élevées de deux points de PIB que la moyenne des pays de l’OCDE, sans produire un résultat sanitaire plus satisfaisant. Le déficit des comptes de la sécurité sociale est chronique faisant de la gestion de la pénurie une des variables d’ajustement de la politique de santé en France.

Faute d’adaptation structurelle et de réflexion globale sur son organisation et son financement, notre système de santé n’est non seulement pas préparé à la triple transition démographique, épidémiologique et technologique auquel il doit faire face mais il se dégrade. La situation difficile des hôpitaux publics ne peut évoluer positivement et durablement sans qu’une réflexion sur l’ensemble du système de santé ne soit menée qui concerne, notamment, les questions liées à la formation et à la rémunération des personnels de santé, au financement de la santé, à la gouvernance des établissements de soins, à l’organisation de la permanence des soins et à la place respective du public et du privé.

Il apparaît donc essentiel de mener une réflexion approfondie et globale pour identifier les causes des nombreux dysfonctionnements de notre système de santé. Sur la base de ce constat, les propositions devront avoir pour objectif d’améliorer l’accès aux soins dans un souci de proximité et de rationalisation des coûts : elles devront répondre aux difficultés que connaît l’hôpital (en particulier la situation des personnels soignants et la place de l’université et de la recherche dans l’hôpital) ; elles devront assurer une répartition efficace des missions et des rôles entre médecine publique et médecine privée.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. Rupture d’une importante canalisation d’eaux usées

 




 

Communiqué du Maire des Sables d’Olonne

« Hier soir, mardi 9 novembre, une rupture sur une canalisation a entraîné des écoulements d’eaux usées sur le boulevard du Vendée Globe, à proximité du magasin Décathlon.

L’Agglomération a immédiatement déclenché la procédure d’urgence. Avec les équipes de la SAUR, les agents sont intervenus rapidement pour stopper l’écoulement, pomper les eaux usées et nettoyer les lieux. Les importants moyens déployés, et la vingtaine de professionnels qui se relaient depuis hier soir, ont permis de remplacer le segment de canalisation cassé.

Malgré le dispositif mis en œuvre, des eaux usées se sont malheureusement déversées dans la rue du Pas Mauvais ainsi que sur le boulevard du Vendée Globe. Une quantité limitée a rejoint le réseau d’eaux pluviales via les grilles avaloirs, atteignant le marais de la Roulière. Une pollution circonscrite grâce à la mise en place d’un batardeau, qui permet aux services de la SAUR de pomper les eaux et vases souillées. Des études et analyses sont actuellement menées afin de confirmer qu’il n’y a pas de traces de pollution dans le milieu naturel alentour.

Cette casse concerne un point stratégique de notre réseau d’assainissement : une conduite de 8,5 km, qui refoule 60% des effluents du territoire, à partir du Poste Général de la Sablière vers la station d’épuration du Petit Plessis au Château d’Olonne. La même qui avait déjà connu une rupture en mai dernier, 100 mètres en aval, nous conduisant à engager des actions judiciaires et à lancer en urgence le diagnostic complet de cette canalisation.

J’ai demandé à ce que l’intégralité de la canalisation soit inspectée en détail. Ainsi, la totalité des 9 km sera vérifiée à partir de janvier 2022, avec des sondes radar pour identifier les fissures et des sondages pour localiser les éventuelles déformations de la conduite. Des investigations compliquées et longues, a minima une année, qui doivent permettre d’intervenir en priorité sur les zones à risques.

J’ai également demandé à ce que les services étudient, en parallèle, le doublement complet de cette canalisation. Un important chantier estimé à plus de 9 millions d’euros, qui nécessite des expertises techniques et judiciaires préalables, liées à la longueur hors norme de cette conduite, posée en 2008.

Toutes les solutions techniques seront étudiées pour que ce type d’incident ne se reproduise plus. »

Yannick Moreau



Le Reporter sablais

(avec communication)

Les Sables-d’Olonne Vendée. L’astronaute Thomas Pesquet photographie la côte sablaise

 




 

Thomas Pasquet est réputé pour ses qualités d’astronaute mais aussi pour le plaisir qu’il a de photographier la terre depuis l’espace.
Et il transmet des photos dont l’identité ravit les habitants des territoires ainsi mit en lumière.

Très récemment, il a mis en lumière la ville de Berck – « jolie station balnéaire » – et la côte du Pas de Calais « qui lui rappelle ses années à l’école de pilotes dans le Nord-Pas de Calais ».

 

Mais il a mis aussi à l’honneur la Ville des Sables d’Olonne ! « d’où part le Vendée Globe tous les 4 ans. »
Et il en a profité pour saluer tous les skippers au long cours qu’il considère comme de vrais aventuriers.
Et, en la matière, il sait de quoi il parle !

Bravo à @Thom_astro pour ses missions dans l’espace et pour le respect qu’il a pour les autres aventuriers.

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

Berck Les Sables-d’Olonne. L’astronaute Thomas Pesquet met en lumière la ville de Berck

 




 

Thomas Pasquet est réputé pour ses qualités d’astronaute mais aussi pour le plaisir qu’il a de photographier la terre depuis l’espace.
Et il transmet des photos dont l’identité ravit les habitants des territoires ainsi mit en lumière.

Très récemment, il a mis en lumière la ville de Berck – « jolie station balnéaire » – et la côte du Pas de Calais « qui lui rappelle ses années à l’école de pilotes dans le Nord-Pas de Calais ».

 

Mais il a mis aussi à l’honneur la Ville des Sables d’Olonne ! « d’où part le Vendée Globe tous les 4 ans. »
Et il en a profité pour saluer tous les skippers au long cours qu’il considère comme de vrais aventuriers.
Et, en la matière, il sait de quoi il parle !

Bravo à @Thom_astro pour ses missions dans l’espace et pour le respect qu’il a pour les autres aventuriers.

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

Les Sables-d’Olonne Vendée. COVID Vaccinés et non-Vaccinés: des distorsions qui semblent se réduire

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. COVID Vaccinés et non-Vaccinés: des distorsions qui semblent se réduire

Il faut toujours prendre les statistiques avec des pincettes.
Et nous le ferons aujourd’ui encore.

Reste qu’il est intéressant de se poser des questions sur trois évolutions statistiques:
– le taux d’incidence très élevé des plus de 65 ans par rapport à la population globale;
– la distorsion réduite entre tests positifs des vaccinés et non-vaccinés.;
– soins critiques des vaccinés et non vaccinés

Stats: Santé publique France

Premier cas:
Il n’y a pas si longtemps, on nous expliquait que les taux d’incidence et de positivité des plus de 65 ans – nettement plus faible que pour la population générale – étaient dus à leur pourcentage de vaccination important et à la primauté qu’ils avaient eu dans la campagne de vaccination.
Force est de constater qu’aujourd’hui (données des 26 et 28 octobre 2021), les taux sont nettement plus élevés pour cette population âgée:
– Vendée: incidence à 202,9 pour les +65 ans contre 92,9 pour la population globale; et 7,3 de positivité pour les +65 ans contre 3,6 pour la population globale.
L’écart est également très important pour l’ensemble des Pays de la Loire.

Type de vaccin, évolution des anti-corps, nécessité de poursuite des doses etc… chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts ou pseudo-experts en la matière.

Deuxième cas:
Force, là aussi, de constater que l’écart s’est fortement réduit pour ce qui concerne les tests positifs entre les personnes vaccinées et les non-vaccinées.
Ainsi, pour la France entière, à la date du 17 octobre 2021, les tests positifs des non-vaccinés évoluent peu sur les dernières semaines (1,88% en 7 jours) alors que chez les vaccinés, l’évolution faible sur les dernières semaines monte toutefois à 15,90% sur les 7 denriers jours.
Mais surtout, les courbes se sont nettement rapprochées.

Là aussi, chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts en la matière. Il faudra certainement tenir compte des différentiels du nombre de tests entre ceux qui sont vaccinés et effectuent des contrôles de vérification, et les non-vaccinés qui effectuent ou ont effectués des tests afin de vivre un quotidien similaire à leurs copatriotes…
Constatons seulement que, si les écarts sont encore importants 24 tests positifs chez les vaccinés contre 66 chez les non-vaccinés sur 100.000 personnes, l’écart s’est réduit au point de se poser des questions sur l’efficience à moyen terme – sur la durée – des vaccins.
L’évolution est parallèle dans les autres Régions (voir ci-dessous courbes pour plusieurs Régions françaises).

 

3ème point: les entrées en soins critiques
Pour les entrées en soins critiques, force là aussi de constater que les écarts se réduisent.
On reste toutefois, sur la France, à un écart en défaveur des non-vaccinés de 6,21 entrées contre 2 aux vaccinés.
Dans les Pays de la Loire, le score reste cependant très proche: 3,94 entrées (vaccinés) et 5,39 entrées (non-vaccinés).

On laissera chacun se faire sa propre opinion.
Les experts et pseudo-experts ne manqueront pas d’apporter leur vision des choses, notamment sur l’efficience des vaccins à moyen terme – sur la durée.

 

Rappelons, si c’était nécessaire, que cette mise en avant statistique ne se veut en aucun cas un argumentaire anti-vaccin, mais simplement une information pour éclairer comme il se doit la population.

© Stats: Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

COVID France: fermeture de classes et établissements scolaires (Rédaction Les Sables-d’Olonne)

 

FERMETURE DE CLASSES ET ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES AU 26 OCTOBRE 2021
DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES

Seules les données au niveau national sont disponibles.

 

 

FRANCE

Ce sont 6 structures scolaires qui étaient fermées en France à la date du 15 octobre 2021 (derniers chiffres connus au 26 octobre 2021).
Soit un taux très faible de 0,01%, en baisse par rapport à la situation aux 17 et 24 septembre 2021.

Sans être plus inquiétante, le nombre de classes fermées est de 1180, en amélioration continue depuis le 17 septembre 2021. Le taux est de 0,22%.

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. VG2024: 40 skippers pour le prochain Vendée Globe




 

Départ le 10 novembre 2024 à 13h02

L’avis de course du Vendée Globe 2024
L’avis de course – la bible pour les skippers – pour le Vendée Globe 2024 est paru.
Il prévoit, notamment que ce sont 40 skippers qui prendront le départ de la Course autour du Monde à partir du port des Sables d’Olonne le 10 novembre 2024.

« Aujourd’hui marque le lancement du Vendée Globe 2024. Ce que nous avons vécu lors de la précédente édition était suffisamment extraordinaire pour motiver les futurs concurrents » a indiqué Alain Leboeuf, président du Conseil départemental et de la SAEM Vendée Globe.

La passion encore fortement présente lors de la dernière édition avec, en plus, le sauvetage opéré par Jean Le Cam, constituent de forts atouts pour insuffler la volonté de participer auprès de nombreux skippers.
Ils sont environ 45 ceux qui aimeraient participer.
Mais, il n’y aura que 40 places !
Et, entre les contraintes financières, les obligations, les sélections et qualifications, le nombre de 45 sera au fur et à mesure, et comme toujours, légèrement réduit.

Les dates décisives
A partir du 14 février 2022 – à J-1000 du départ – les skippers pourront déposer leur inscription.
La date fatidique de clôture pour les inscriptions sera le 2 octobre 2023.

La qualification
« Il est important que cette course continue de faire référence et il n’est pas question d’envoyer des skippers qui n’ont pas les compétences » a précisé Alain Leboeuf.
La sécurité est toujours un critère fondamental qui exige une grande fiabilité des bateaux.
D’autre part, espertise et compétences seront exigés de la part des skippers avec un contrôle passant par un
parcours de qualification renforcé

Equité 
Plus de passe droit pour ceux qui ont précédemment fini un Vendée Globe.
Désormais, ils devront eux aussi se qualifier comme les autres. Il s’agit pour les organisateurs de respecter une équité totale, permettant du même coup de faciliter l’accès de la course aux nouveaux qui pouvaient sans doute souffrir d’une liste déjà très occupée par les anciens.
Cela aura en tout cas l’avantage de vérifier les capacités des navigateurs à quatre ans d’écart, voire plus, avec le bateau Imoca qu’ils auront choisi.

Courses qualificatives
Les skippers qui candidatent devront participer à au moins 2 courses en solitaire du championnat Globe Séries avant fin 2023 et à une de plus avant le 1er juillet 2024, et cela avec le bateau Imoca prévu pour leur Vendée Globe.
La Vendée Arctique Les Sables d’Olonne – le 16 juin 2022 – sera la première des 5 courses qualificatives.
Au moins une de ces épreuves devra être terminée en réalisant moins de 50% du temps du vainqueur.

40 skippers pour le VG2024
S’il n’y aura pas de passe droit pour ceux qui sont d’anciens « finishers » du Vendée Globe, par contre les skippers ayant des bateaux neufs seront privilégiés car, selon Alain Leboeuf, « il est important de laisser une place à ceux qui font avancer la technologie et qui rendent la course attractive ».

Ainsi:
– les 13 premiers ayant un bateau neuf et qui auront participé à une course de qualification prendront le départ du VG2024;
– les 26 skippers ayant effectué le plus grand nombre de milles nautiques sur les courses de sélection du championnat Globe Series seront sélectionnés;
– et l’organisation se réserve une « wild card » , c’est-à-dire le droit d’inviter 1 skipper ce qui portera le total à 40 skippers pour le départ à partir du ponton du Vendée Globe situé à Port-Olona.

Avis de course en PDF:
https://www.vendeeglobe.org/fr/download/61725/

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais