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Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France au 29 novembre 2021: ça monte inexorablement

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 29 NOVEMBRE 2021

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FRANCE

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 27 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 27 NOVEMBRE 2021

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Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

FRANCE COVID. VACCIN: Faut-il se méfier des chiffres balancés sur certaines chaînes de télé ?

 

 

FRANCE COVID. VACCIN: Faut-il se méfier des chiffres balancés sur certaines chaînes de télé ?

Le 30 octobre 2021, nous mettions déjà en garde sur les chiffres et leurs évolutions.

Nous indiquions alors qu’il fallait toujours prendre les statistiques avec des pincettes.

A l’époque, il nous paraissait intéressant de se poser des questions sur trois évolutions statistiques:
– le taux d’incidence très élevé des plus de 65 ans par rapport à la population globale;
– la distorsion réduite entre tests positifs des vaccinés et non-vaccinés.;
– soins critiques des vaccinés et non vaccinés

On nous expliquait que les taux d’incidence et de positivité des plus de 65 ans – nettement plus faible que pour la population générale – étaient dus à leur pourcentage de vaccination important et à la primauté qu’ils avaient eu dans la campagne de vaccination.
Force était alors de constater ensuite que les taux étaient devenus nettement plus élevés pour cette population âgée (données des 26 et 28 octobre 2021).
Type de vaccin, évolution des anti-corps, nécessité de poursuite des doses etc… chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts ou pseudo-experts en la matière.

Lire: https://tinyurl.com/yv7j2nf4

RATIO VACCINÉS / NON-VACCINÉS
Depuis plusieurs semaines, on entend sur les antennes des professionnels de santé ainsi que des politiques affirmer que les non-vaccinés Covid sont 9 fois plus nombreux que les vaccinés dans les hôpitaux.
Or, les derniers chiffres qui viennent d’être publiés et qui correspondent à la date du 14 novembre 2021 (date correspondant aux affirmations) montrent des stats divergentes (stats de Santé publique France).

En soins critiques:
– 13,73 pour les non vaccinés
– 4,36 pour les vaccinés.
Soit un ratio de  X 3,15.

Quant aux tests positifs:
– 117,92 pour les non vaccinés
– 66,43 pour les vaccinés.
Soit un ratio de X 1,77.

On est donc très loin des prétendus ratios de  X 9 !

On veut bien admettre que les comparaisons pour les tests soient délicates en raison des compositions de population différentes. Il n’en est rien pour les patients en soins critiques.
Mais pourquoi essayer de faire peur aux gens avec de faux chiffres ? Ils ne sont pas assez stressés comme ça?

 

Rappelons, si c’était nécessaire, que cette mise en avant statistique ne se veut en aucun cas un argumentaire anti-vaccin, mais simplement une information pour éclairer comme il se doit la population.

D’autre part, au vu des désinformations régulières relevant parfois du lavage de cerveau, il ne serait pas inutile que les débats du Conseil scientifique Covid-19, créé en mars 2020 et composé de treize experts scientifiques, soient diffusés sur les antennes.

© Stats de Santé publique France

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. COVID 98% de majeurs vaccinés en Vendée et un taux d’incidence qui grimpe toujours…

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 25 NOVEMBRE 2021

VENDÉE


Il est légitime de se poser la question…

La Vendée comporte désormais 98% de majeurs vaccinés (+ de 18 ans) en Vendée, et pourtant le taux d’incidence ne cesse de grimper… et se trouve désormais à plus de 200.
Quant au taux de positivité (contamination), il est à 1,39.

Le Reporter sablais

 

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Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

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Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

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Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 21 novembre 2021: la France entre chien et loup…

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 21 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

Alors que la France est encore entre chien et loup, les loups sont déjà à nos frontières.
Europe centrale et Europe de l’Est ont déjà basculé vers une reprise de la pandémie qui semble sans limites.
En France, le rebond s’est véritablement enclenché et pour le département de la Vendée la reprise est réellement sensible.

Que penser de cette situation ? Un relâchement d’abord. Malgré les avertissements répétés, les gestes barrières n’ont pas été respectés. Dire que c’est la vaccination qui a entraîné cela car les gens se sont sentis bien trop tôt comme libérés !
Ensuite, la vaccination n’est plus la panacée que certains pensaient avoir découvert. Son effet se réduit dans le temps, ce vaccin n’ayant pas d’effet permanent comme d’autres.
La France, et quatre à cinq autres pays résistent à l’invasion; cela serait dû au retard pris par notre pays en raison des problèmes d’approvisionnement de vaccins que nous avons connus. Voilà bien le seul élément positif que certains veulent reconnaître aux affaires des masques et des vaccins !
De là à y voir une manipulation politique à quelques mois de l’élection présidentielle….

Restons optimistes, mais il y a de fortes chances que la France voit ses courbes négatives prendre de l’ampleur durant l’hiver.
Seuls le printemps et une réduction avec le temps de la virulence du virus laissent présager des temps plus radieux. En attendant, réduisons les regroupements et les déplacements autant que faire se peut.
Là réside le salut, bien plus que dans des confinements ou des restrictions.

Concernant les statitisques, on notera:
– un rebond France à 144
– des hospitalisations et entrées en soins critiques encore maintenues
– des ratios tests positifs et réanimations de x4 ou x5 entre les personnes vaccinées et les non-vaccinées (et non x9)
– un fort rebond de la reproduction effective
– des décès contenus
– des taux d’occupation contenus

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

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Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée au 18 novembre 2021: en Vendée le rebond prend forme

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 18 NOVEMBRE 2021

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Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Vendée France. BREXIT Pêche: les sénateurs en colère s’emparent du dossier (Rédaction Les Sables-d’olonne)

 




 

Pêcheurs français otages du Brexit: les sénateurs en colère se mobilisent

La section « pêche et produits de la mer » rattachée à la commission des affaires économiques du Sénat ainsi que la commission des affaires européennes dénoncent l’impasse où se trouvent les négociations sur l’accès des pêcheurs français aux eaux britanniques et la reculade du Gouvernement qui, après avoir brandi des rétorsions – interdiction de débarques de poissons – envers le Royaume-Uni pour refus de donner accès à ses eaux, a préféré la « désescalade », selon les mots du président de la République en fin de semaine dernière, au G20 de Rome.

L’accord de commerce et de partenariat euro-britannique conclu le 24 décembre 2020 autorise les pêcheurs à continuer de pêcher dans les eaux britanniques et notamment dans la zone des 6-12 milles, près des côtes, pour autant qu’ils puissent prouver y avoir pêché les années précédentes. Or, le Royaume-Uni et les îles anglo-normandes se montrent excessivement pointilleux dans l’interprétation de cette règle de continuité – « clause du grand-père »-, exigeant des justificatifs en pratique impossibles à fournir par les petites pêcheries françaises. Ce zèle cache mal la mauvaise foi britannique, imputable à une revendication de souveraineté avant tout symbolique, la grande majorité du poisson consommé outre-Manche n’étant pas pêché dans les eaux britanniques.

Sans méconnaître le discours de fermeté et les actions entreprises par la ministre de la Mer, Annick Girardin, et le secrétaire d’État chargé des affaires européennes, Clément Beaune, avec lesquels la commission des affaires européennes est en dialogue régulier sur le sujet, les sénateurs regrettent que les sanctions dites « croisées » – pouvant concerner d’autres secteurs que la pêche – n’aient pas été appliquées comme envisagé. Ils déplorent aussi l’absence de prise de parole publique de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et, plus étonnant encore, du commissaire européen à l’Environnement, aux Océans et à la Pêche, Virginijus Sinkevičius, que la commission des affaires européennes a auditionné dès avril dernier. « L’accord sur la pêche est euro-britannique, non franco-britannique. En toute logique, c’est à l’Union européenne de faire respecter sa signature sur la scène internationale, à l’heure où elle se donne pour ambition de devenir une « Union géopolitique » », déplore Jean‑François Rapin, président de la commission des affaires européennes.

« Je trouve aberrant que le Brexit conduise à remettre en cause l’accès des pêcheurs français aux eaux des îles anglo-normandes, dans la mesure où ces dernières, ayant toujours bénéficié d’un régime spécifique, n’ont jamais relevé du droit de l’Union », estime Alain Cadec, président de la section « pêche et produits de la mer » et ancien président de la commission de la pêche au Parlement européen de 2014 à 2019, qui n’exclut pas un retour, dans le cadre d’un gentleman’s agreement, aux termes de l’accord de Granville de 2004, abrogé par l’accord euro-britannique.

La présidente de la commission des affaires économiques Sophie Primas indique que « les commissions des affaires économiques et des affaires européennes du Sénat, soucieuses de l’avenir de la filière pêche, de l’impact du Brexit sur les territoires et de la crédibilité de l’Union européenne, ont entrepris de travailler sur l’application effective de l’accord de pêche euro-britannique. » La section « pêche et produits de la mer » entame ainsi un programme d’auditions des principaux spécialistes et acteurs concernés afin de dégager des solutions pérennes. Elle présentera ses recommandations aux commissions des affaires économiques et des affaires européennes à la mi-décembre.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

Vendée France Santé. Bruno Retailleau pour une Commission d’enquête sur l’hôpital et le système de santé français (Rédaction Les Sables-d’olonne)

 




 

Proposition de résolution de Bruno Retailleau et les membres du groupe Les Républicains, apparentés et rattachés, Sénatrices et Sénateurs
tendant à créer une commission d’enquête sur la situation de l’hôpital et le système de santé en France

La situation médicale extrêmement préoccupante dont souffre la Vendée n’est en effet pas un cas à part. Opérations déprogrammées, délais de rendez-vous de plus en plus longs, manque de personnels soignants, manque d’argent alors que nos dépenses de santé sont parmi les plus élevées des pays occidentaux…

La médecine française est à bout de souffle, dans les hôpitaux, mais aussi dans les cabinets de médecins, en ville et dans les zones rurales où les déserts médicaux se multiplient.

En résumé, France n’est plus en état de proposer à l’ensemble de sa population les moyens de rester en bonne santé et d’avoir un accès à une offre de soins normale.

C’est pourquoi, à la demande de Bruno Retailleau, la commission d’enquête du Sénat va ausculter les nombreux dysfonctionnements du système médical pour proposer une refonte globale du modèle français.

(La proposition de résolution a été envoyée à la commission des affaires sociales.)

« Les mesurettes ne serviront à rien, c’est une révolution médicale dont la France a besoin, d’autant plus que les risques épidémiques se multiplient et que les caisses de l’Etat sont vides.

Il s’agira pour les sénateurs et les sénatrices de définir les conditions pour trouver de nouvelles formes de financement, débureaucratiser l’hôpital, mieux répartir l’équilibre entre la médecine publique et la médecine privée, améliorer la rémunération des soignants, adapter la formation des étudiants et attirer des médecins dans les déserts médicaux. Un objectif : que l’efficacité et la proximité deviennent les nouveaux piliers du système de soins français » a déclaré Bruno Retailleau

 

Exposé des motifs de la proposition de résolution déposée:

Mesdames, Messieurs,

Aujourd’hui, l’objectif prioritaire de tout système de santé doit être un accès à la santé pour tous, autour de deux axes : le maintien en bonne santé de la population et l’accès aux meilleurs soins pour tous.

Depuis plusieurs mois, sous l’effet de l’épidémie de Covid-19, les projecteurs sont braqués sur les tensions rencontrées à l’hôpital public. En réalité, cette mise sous tension a de multiples origines : managériales, organisationnelles, financières et la réponse apportée à chaque crise ne s’est faite qu’à travers une succession de plans d’urgence ou de plans de soutien ponctuels sans qu’aucune réforme structurelle ou globale n’ait été proposée.

La santé vit en France sur un modèle à bout de souffle. La crise que traverse l’hôpital public n’est qu’un des symptômes d’une crise qui touche l’ensemble de la santé en France. L’accès aux soins est devenu de plus en plus difficile depuis plusieurs années : carence en personnel soignant, soins déprogrammés à l’hôpital, délai d’attente de plus en plus long pour avoir un rendez-vous en médecine de ville sur l’ensemble de notre territoire, difficultés à trouver un médecin généraliste référent et les déserts médicaux en progression constante.

Notre système de santé est désorganisé, suradministré et géré depuis des décennies dans une logique d’intégration publique. Ajoutons qu’il n’est plus correctement adapté à la gestion d’un risque santé qui évolue et qui est désormais caractérisé par les pathologies chroniques et des nouvelles technologies favorisant une prise en charge en ambulatoire.

Ce constat est d’autant plus alarmant que les dépenses de santé en France sont plus élevées de deux points de PIB que la moyenne des pays de l’OCDE, sans produire un résultat sanitaire plus satisfaisant. Le déficit des comptes de la sécurité sociale est chronique faisant de la gestion de la pénurie une des variables d’ajustement de la politique de santé en France.

Faute d’adaptation structurelle et de réflexion globale sur son organisation et son financement, notre système de santé n’est non seulement pas préparé à la triple transition démographique, épidémiologique et technologique auquel il doit faire face mais il se dégrade. La situation difficile des hôpitaux publics ne peut évoluer positivement et durablement sans qu’une réflexion sur l’ensemble du système de santé ne soit menée qui concerne, notamment, les questions liées à la formation et à la rémunération des personnels de santé, au financement de la santé, à la gouvernance des établissements de soins, à l’organisation de la permanence des soins et à la place respective du public et du privé.

Il apparaît donc essentiel de mener une réflexion approfondie et globale pour identifier les causes des nombreux dysfonctionnements de notre système de santé. Sur la base de ce constat, les propositions devront avoir pour objectif d’améliorer l’accès aux soins dans un souci de proximité et de rationalisation des coûts : elles devront répondre aux difficultés que connaît l’hôpital (en particulier la situation des personnels soignants et la place de l’université et de la recherche dans l’hôpital) ; elles devront assurer une répartition efficace des missions et des rôles entre médecine publique et médecine privée.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais