Résultats du BAC Académie Nantes: nos enfants sont des champions…
Résultats du Bac, Académie de Nantes
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[author title= »Philippe Brossard-Lotz » image= »https://www.lereportersablais.com/wp-content/uploads/2018/09/Logo_LRS2.png »]Le Reporter sablais[/author]
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Les Sables-d’Olonne Vendée. Il veut surfer sur la « New-York Vendée » 2024
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Que cela soit pour le business ou par passion, il y a toujours eu des aventuriers de la niche marketing.
Un secteur éventuellement porteur, peu couru, et dans lequel les concurrents se comptent sur les doigts d’une main.
Photo d’art
Pour Jean-Marc Arthot, le choix pris relève vraiment de la passion artistique, peut-être exacerbée, pour la photo d’art.
Et il y a ajouté un obstacle de plus, en s’intéressant à une production particulière consistant à fusionner deux photos dont l’une, en arrière plan, représente le plus souvent les fameux buildings de New-York.
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Une exposition lors du départ de 2016
La photo artistique est dans ses gènes depuis longtemps, mais la passion new-yorkaise s’est déclenchée en 2016. Jean-Marc Arthot apprend subrepticement qu’une course nautique, organisée par Imoca et Open Sports Management va relier New-York aux Sables-d’Olonne.
Ni une, ni deux, il se rend à New-York avant le départ et, grâce au Consulat de France et à l’organisation événementielle de la course, il obtient de proposer ses oeuvres dans le cadre d’une petite exposition.
Depuis, il n’a eu de cesse de développer son activité au travers d’expositions en Vendée et dans l’Ouest de la France. Vendée, Nantes, Pays-de-la-Loire, Bretagne sont ses terrains de jeu.
Passion intacte et nouveaux projets
Depuis, huit années se sont écoulées. Mais sa passion est toujours intacte.
Jean-Marc Arthot a, par exemple, postulé pour une résidence d’artiste* à New-York, demande qui a été soutenue par deux collectivités vendéennes et une banque.
(* octroi temporaire, par une institution publique ou privée, d’un espace à un artiste, afin de favoriser la création et l’exposition d’œuvres d’art).
Il envisage aussi, à l’approche du nouveau départ de la New-York / Vendée Les Sables-d’Olonne qui aura lieu le 29 mai 2024, de finaliser un projet liée à cette course, d’autant plus qu’elle prend de l’ampleur :
de 14 skippers en 2016, le nombre passera à une quarantaine en 2024.
Des liens méconnus
Le projet le passionne tant qu’il aimerait l’élargir car il a toujours été convaincu, dit-il, que cette course nautique serait une opportunité pour faire valoir économiquement la Vendée et Les Sables-d’Olonne à New-York, porte d’entrée pour les Etats-Unis.
Il souligne qu’il existe des liens d’amitié ou professionnels entre la Vendée et les Etats-Unis, mais souvent méconnus, dont il espère approfondir la connaissance grâce à la parution du présent article.
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LA BAIE DES SABLES ET NEW-YORK EN ARRIÈRE PLAN
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Son projet, « A la croisée des rêves » comporte 2 volets essentiels:
– après la réalisation d’un certain nombres de photos artistiques sur la Vendée, il envisage de nouvelles créations afin de porter le total des réalisations à 85 tableaux (… on devine la raison du choix de ce nombre…) représentant des communes ou des sites vendéens ;
– la réalisation de 50 portraits accompagnés de textes dont:
* 25 portaits d’Américains établis en Vendée ;
* 25 portraits de Vendéens établis à New-York ou dans le reste des Etats-Unis.
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DES EXEMPLES DE PORTRAITS TRÈS RÉUSSIS
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Développement et répercussions
Au-delà de ces deux projets artistiques, il souhaite s’appuyer sur la dynamique de la course pour créer des liens économiques, culturels et pédagogiques – qui pourraient être lancés à l’initiative des collectivités vendéennes elles-mêmes – pour des expositions, des transferts pédagogiques dans des établissements scolaires etc… afin de maintenir une flamme permanente et constructive entre la Vendée et New-York.
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Boutique sur le Remblai
Jean-Marc Arthot a décidé dès maintenant de mettre encore davantage en avant ses réalisations.
Comme tout projet nécessite des financements, il loue désormais un local situé sur le Remblai afin de favoriser la vente de ses oeuvres auprès du grand public (photos, cartes, tableaux), ainsi que directement auprès d’entreprises (tableaux, fresques etc…).
La Boutique est située sur le Remblai des Sables-d’Olonne au :
31 Promenade de l’Amiral Lafargue 85100 Les Sables-d’Olonne
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UN DES TROIS APPAREILS QU’IL UTILISE
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Les Sables-d’Olonne Vendée. 2024 : la « New-York Vendée » en prélude du « Vendée Globe »
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C’est décidé !
Le départ de la « New-York Vendée Les Sables-d’Olonne » aura lieu le 29 mai 2024.
Et le « Vendée Globe » partira le 10 novembre 2024, à 13h02.
C’est bien ce que l’on peu appeler un prélude.
D’autres diront qu’il s’agit d’une dernière course « d’entraînement » avant le grand bain du Vendée Globe.
Ce sera aussi, pour ceux qui n’ont pas encore satisfait à toutes les conditions en matière de qualifications – distances parcourues, par exemple – la dernière possibilité pour se qualifier pour l’Everest des mers.
Conditions obligatoires pour le Vendée Globe
Avoir achevé l’une de ces deux courses sans dépasser le temps du vainqueur augmenté de 50% :
– 1 course qualificative en 2022 ou 2023 ;
– 1 course qualificative en 2024.
De plus, comme le Vendée Globe est prévu pour 40 participants maximum, le nombre de milles sera éliminatoire en favorisant ceux qui en auront effectué le plus, et chaque mille effectué durant la New-York Vendée étant comptabilisé 1,5 mille. On comprend dès lors pourquoi il y a tant de participants à cette dernière course qualificative ! C’est bien plus qu’une répétition générale, c’est un appel du large….
En tout cas, même si des skippers ne sont pas fin prêts, la Ville des Sables-d’Olonne et le département de la Vendée seront prêts pour l’échéance car, depuis quatre ans, Vendéens et amateurs de nautisme et de grandes courses au large s’impatientent…
A quand un Vendée Globe tous les trois ans… ??
Nous le savons, il faut des moyens financiers pour une telle organisation ; et il ne faut pas de départs trop fréquents pour ne pas désenchanter les fervents…. Mais bon ! Cette périodicité, tous les quatre ans, date de 1894 lorsque Pierre de Coubertin, à la Sorbonne, lança son projet de jeux Olympiques à Athènes en 1896, puis des Jeux indépendants ou liés à une exposition universelle, tous les quatre ans.
C’était une époque où les transports étaient longs et fastidieux; les athlètes qui travaillaient devaient pouvoir se libérer et financer leur voyage.
Depuis 1896, tous les organisateurs se sont calqués sur cette périodicité, par un simple mimétisme.
Mais le monde va aujourd’hui plus vite qu’en 1896…
L’échéance est bien longue pour les olympiens ou les globiens. Encore bien plus, psychologiquement, pour ceux qui ratent une échéance. Il leur faudra patienter et se préparer sur une période de huit ans !
Huit années, c’est presque une vie entière pour un sportif de haut niveau, dans le sport ou le nautisme.
Certes, il faut du temps pour se préparer, pour trouver des sponsors, pour finaliser toutes les échéances nécessaires et/ou obligatoires.
Mais trois années suffiraient amplement et créeraient un dynamisme incontestable en matière de promotion, de tourisme et d’image.
La New-York Vendée, elle aussi tous les 4 ans
Mais aujourd’hui, il s’agit de la New-York Les Sables-d’Olonne, le prélude disions-nous du futur Vendée Globe.
La première édition eut lieu en 2016 (créée par IMOCA et Open Sports Management) avec une victoire de Jérémie Beyou sur Maître CoQ en 9 jours et 16 heures.
La deuxième édition n’eut pas lieu, en raison notamment de la crise sanitaire.
La prochaine édition aura donc lieu le 29 mai 2024.
Huit années se seront écoulées. C’est bien long pour cette épreuve qui a son charme.
Car elle crée un lien original avec la ville de New-York, un lien peu fréquent, inhabituel même pourrait-on dire pour la Vendée, alors que ce département est presqu’en face de New-York, mais à 5600 km (la course nautique New-York Vendée est de 3200 milles).
Une course qui pourrait être l’occasion de développer des liens fraternels (jumelage), économiques, culturels, cinématographiques, nautiques etc…
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40 concurrents contre 14 en 2016
Il n’y avait que 14 concurrents en 2016. Il y en aura environ 40 pour cette deuxième édition qui sera organisée par la SAEM Vendée Globe, qui a repris l’organisation après un accord avec Imoca et OSM.
Le 24 mai 2024, cinq jours avant la course, aura lieu dans la baie de Manhattan un show nautique aux pieds de la statue de la Liberté du nom de “Liberty Race”.
Il nous reste presqu’un an pour peaufiner notre anglais afin d’être aux premières loges…
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La course aura lieu le 29 mai 2024 et la remise des prix le 9 juin 2024.
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Les Sables-d’Olonne Vendée Atlantique. Des milliers de méduses Aurélie sur le sable de la Grande Plage
Impressionnant !
Des milliers de méduses !
Elles semblent fonctionner comme les touristes. Dès qu’il fait chaud et beau, elles arrivent en nombre, sans prévenir, et viennent s’étaler sur le sable fin et blond des Sables-d’Olonne.
Et elles n’en bougent plus, restant des heures, sans lassitude aucune, face au soleil, les tentacules exhibées.
Quelques différences notoires toutefois: pas de serviette de bain, pas de crème à bronzer.
De mémoire de Sablais, on n’aurait (le conditionnel s’applique…) jamais vu ça !
Il est vrai qu’elles sont en nombre, à quelques centimètres les unes des autres.
Heureusement, il s’agit de l’espèce « Aurélie » qui n’est pas vraiment urticante (voir ci-dessous).
Vivement toutefois qu’elles laissent la place.
Sinon, on risque de perdre notre classement d’une des plus belles baies au monde…
La méduse est-elle comestible ?
En mer ce sont les grosses tortues marines qui les mangent.
Mais sur terre ?
Si des restaurants sablais sont en mal d’idées ou de stocks, il y a de quoi récupérer sur la plage….
Et contrairement à ce que l’on peut penser les méduses sont comestibles, enfin quelques espèces, une douzaine.
Elle n’est pas gluante mais croquante et caoutchouteuse comme des champignons noirs, révèle Madame Figaro.
Elles peuvent être consommées « séchées, en salade ou en brochette » indique Futura Sciences et également en soupe.
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Les Sables-d’Olonne Vendée Atlantique. Attention aux méduses et Physalies
La récente montée des températures a augmenté fortement la présence de méduses sur les plages vendéennes.
Aux Sables-d’Olonne, elles furent nombreuses à débarquer sur la Grande Plage et encore davantage à Sauveterre.
L’occasion de faire le point, grâce à un document réalisé par l’ARS, et à apporter toutes les consignes sanitaires nécessaires.
Principales espèces pouvant être rencontrées sur les côtes de l’Atlantique.
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CONSIGNES
Les piqûres de méduses se traduisent généralement par une sensation de brûlure plus ou moins forte qui peut durer plusieurs heures. De petites cloques peuvent se former sur la peau, qui devient violacée, et perdurer quelques semaines.
Quelques conseils sur la conduite à tenir en cas d’envenimations
– Rassurer et calmer la personne
– Retirer les tentacules sans les écraser : l’enlèvement peut être facilité en appliquant préférentiellement de la mousse à raser ou à défaut du sable sec (pas de sable humide)
– Racler l’ensemble (tentacules et mousse/sable) sur la peau avec un carton rigide ou le dos d’une carte de crédit
– Rincer les lésions avec de l’eau de mer ou du sérum physiologique (ne pas utiliser d’eau douce, ni de vinaigre, ni d’ammoniaque) ou désinfecter avec une compresse stérile imbibée d’antiseptique
– Consulter un médecin si les douleurs persistent au-delà de 30 mn.
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PRÉCAUTIONS
Ne pas laisser la personne frotter ses lésions avec les mains
– Ne pas chercher à inciser la plaie, ni aspirer le venin, ni uriner sur la brûlure
– Ne pas rincer avec de l’eau douce car cela faciliterait la décharge toxique des tentacules encore présents sur la peau
– Ne pas exposer l’intervenant aux tentacules toxiques (de préférence en mettant une paire de gants)
– Ne pas appliquer de pommade ou gel (corticoïdes ou antihistaminiques) en première intention.
Plus rarement, d’autres symptômes peuvent survenir jusqu’à plusieurs heures après la piqûre (malaise, vertiges, maux de tête, anxiété, somnolence, fièvre, nausées, vomissements, maux de ventre, tachycardie, gêne respiratoire, douleurs articulaires ou musculaires).
Il est alors impératif de consulter un médecin ou un service d’urgence.
Enfin, il faut rappeler que, même mortes, échouées et à moitié sèches, les cellules urticantes des méduses peuvent rester actives plusieurs jours.
Il faut recommander aux usagers des plages de ne pas y toucher.
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(© Sources: ARS)
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Les Sables-d’Olonne Vendée Atlantique. Attention aux méduses et Physalies
La récente montée des températures a augmenté fortement la présence de méduses sur les plages vendéennes.
Aux Sables-d’Olonne, elles furent nombreuses à débarquer sur la Grande Plage et encore davantage à Sauveterre.
L’occasion de faire le point, grâce à un document réalisé par l’ARS, et à apporter toutes les consignes sanitaires nécessaires.
Principales espèces pouvant être rencontrées sur les côtes de l’Atlantique.
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CONSIGNES
Les piqûres de méduses se traduisent généralement par une sensation de brûlure plus ou moins forte qui peut durer plusieurs heures. De petites cloques peuvent se former sur la peau, qui devient violacée, et perdurer quelques semaines.
Quelques conseils sur la conduite à tenir en cas d’envenimations
– Rassurer et calmer la personne
– Retirer les tentacules sans les écraser : l’enlèvement peut être facilité en appliquant préférentiellement de la mousse à raser ou à défaut du sable sec (pas de sable humide)
– Racler l’ensemble (tentacules et mousse/sable) sur la peau avec un carton rigide ou le dos d’une carte de crédit
– Rincer les lésions avec de l’eau de mer ou du sérum physiologique (ne pas utiliser d’eau douce, ni de vinaigre, ni d’ammoniaque) ou désinfecter avec une compresse stérile imbibée d’antiseptique
– Consulter un médecin si les douleurs persistent au-delà de 30 mn.
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PRÉCAUTIONS
Ne pas laisser la personne frotter ses lésions avec les mains
– Ne pas chercher à inciser la plaie, ni aspirer le venin, ni uriner sur la brûlure
– Ne pas rincer avec de l’eau douce car cela faciliterait la décharge toxique des tentacules encore présents sur la peau
– Ne pas exposer l’intervenant aux tentacules toxiques (de préférence en mettant une paire de gants)
– Ne pas appliquer de pommade ou gel (corticoïdes ou antihistaminiques) en première intention.
Plus rarement, d’autres symptômes peuvent survenir jusqu’à plusieurs heures après la piqûre (malaise, vertiges, maux de tête, anxiété, somnolence, fièvre, nausées, vomissements, maux de ventre, tachycardie, gêne respiratoire, douleurs articulaires ou musculaires).
Il est alors impératif de consulter un médecin ou un service d’urgence.
Enfin, il faut rappeler que, même mortes, échouées et à moitié sèches, les cellules urticantes des méduses peuvent rester actives plusieurs jours.
Il faut recommander aux usagers des plages de ne pas y toucher.
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(© Sources: ARS)
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Les Sables-d’Olonne Vendée Atlantique. Attention aux méduses et Physalies
La récente montée des températures a augmenté fortement la présence de méduses sur les plages vendéennes.
Aux Sables-d’Olonne, elles furent nombreuses à débarquer sur la Grande Plage et encore davantage à Sauveterre.
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Principales espèces pouvant être rencontrées sur les côtes de l’Atlantique.
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CONSIGNES
Les piqûres de méduses se traduisent généralement par une sensation de brûlure plus ou moins forte qui peut durer plusieurs heures. De petites cloques peuvent se former sur la peau, qui devient violacée, et perdurer quelques semaines.
Quelques conseils sur la conduite à tenir en cas d’envenimations
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Plus rarement, d’autres symptômes peuvent survenir jusqu’à plusieurs heures après la piqûre (malaise, vertiges, maux de tête, anxiété, somnolence, fièvre, nausées, vomissements, maux de ventre, tachycardie, gêne respiratoire, douleurs articulaires ou musculaires).
Il est alors impératif de consulter un médecin ou un service d’urgence.
Enfin, il faut rappeler que, même mortes, échouées et à moitié sèches, les cellules urticantes des méduses peuvent rester actives plusieurs jours.
Il faut recommander aux usagers des plages de ne pas y toucher.
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RÉUNION DE CONCERTATION DU 15 JUIN 2023
Dunes du Puits d’Enfer
La réunion portait essentiellement sur :
• la renaturation de l’ancien circuit
• la création de sentiers piétons et cyclables
• la création d’aires d’accueil du public adaptées au site
La route du littoral
Les débuts furent difficiles, raconte Armel Pécheul puisqu’il y avait des conflits entre ceux qui voulaient conserver la route littorale et ceux qui préféraient la supprimer. Finalement la réponse (NDLR: par une votation de la population) fut le maintien de la route.
Cela a entraîné une perte de temps car il a fallu reprendre des enquêtes dont les études d’impact, ce qui a pris au moins une année car ces études doivent porter au moins sur les quatre saisons.
Après que les contraintes administratives aient emprunté à Vivaldi, il fallut poursuivre sur les aspects financiers.
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Financements européens
Fort heureusement, contrairement à ce qui avait pu être avancé dans la bataille de la route littorale, les financements européens ne furent point perdus.
L’heure est désormais aux réunions publiques et aux ateliers participatifs.Patrice Belz, le représentant du Conservatoire du littoram prit ensuite la parole. Il intervint peu, rappelant surtout le rôle du Conservatoire, créé en 1975, qui possède à ce jour 14% du linéaire côtier français dont Dom-Tom.
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Conservatoire du Littoral sur Les Sables
Pour ceux qui ne le sauraient pas, sur le territoire sablais la première acquisition fut le Bois St-Jean en 1979.
Puis vint, en 2015, cette formidable opportunité d’acheter l’ancien circuit automobile et ses 70 hectares.
Un circuit quasi-abandonné mais un vrai corridor écologique qui pouvait être renaturer, comportant des falaises, des dunes grises, des dunes boisées etc….
Un petit paradis écologique dont la biodiversité ne demande qu’à être protégé.
Pour autant, le Conservatoire du littoral n’entend pas en faire un camp retranché…
Il serait accessible au public, avec des chemins piétonniers et pour les mobilités dont les vélos, et pour le public des cheminements canalisés.
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Jean-Pierre Chappalain prit aussi la parole en tant qu’élu chargé de l’environnement. Pour lui aussi il y a nécessité et volonté de renaturer, ce qui n’est qu’une étape. Il s’est arrêté sur la présence actuelle d’un grillage hideux, sur la merveille que constitue cette route littorale. Il indiqua aussi son souhait de donner à la place centrale de la Pironnière un caractère hispanisant. Il reprendra un peu plus tard la parole à propos du franchissement de la route, indiquant que tout serait mis en place pour faire ralentir les automobiles.
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Artelia
C’est ensuite le Bureau d’études Artelia qui prit la parole.
Il présenta le dossier, les possibilités, mit en avant les perspectives.
Cependant le public resta sur sa faim, la présentation manquant un peu de préparation, d’explications, d’arguments, les plans étant insuffisamment agrandis pour être visible depuis la salle.
L’une des présentations – en vidéo en bas de page – fut plus explicite et plus efficiente.
Les problèmes de micro n’arrangèrent pas les choses.
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Alors qu’il commençait à se faire tard, plusieurs spectateurs commencèrent à vouloir opposer la renaturation avec le survol des avions d’un proche aérodrome.
Armel Pécheul, qui menait la séance, tint à préciser que ce n’était pas à 22h qu’allait être lancé un nouveau débat sur les avions et l’aérodrome après cette séance de concertation sur les dunes du Puits d’Enfer.
Une manière de dire que le touch and go ne serait pas pour ce soir….
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Vidéo
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Prochains Rendez-vous, les :
JEUDI 22 JUIN
10H30, visite sur site
Sur inscription
JEUDI 22 juin
14H, salle Calixte Plissonneau
Ateliers participatifs « Mobilité à la pironnière »
Sur inscription
VENDREDI 30 juin
10H30, visite sur site
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VENDREDI 30 juin
14H, salle Calixte Plissonneau
Ateliers participatifs « La pédagogie sur le site »
Sur inscription
ARTICLE PRÉCÉDENT
Rendez-vous, les :
JEUDI 15 JUIN
20H30, Salle Calixte Plissonneau
Réunion publique ouvert à tous
JEUDI 22 JUIN
10H30, visite sur site
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JEUDI 22 juin
14H, salle Calixte Plissonneau
Ateliers participatifs « Mobilité à la pironnière »
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VENDREDI 30 juin
10H30, visite sur site
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VENDREDI 30 juin
14H, salle Calixte Plissonneau
Ateliers participatifs « La pédagogie sur le site »
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Depuis 2020, en partenariat avec le Conservatoire du Littoral et le Département de la Vendée, la Ville a engagé des démarches pour renaturer le site de l’ancien circuit et mieux valoriser la partie littorale qui intègre le Puits d’Enfer l’Anse aux Moines, la baie de Cayola, l’Abbaye Saint Jean d’Orbestier et le bois Saint Jean.
Les procédures administratives sont longues et complexes, mais le dossier avance aujourd’hui avec 3 priorités :
• la renaturation de l’ancien circuit
• la création de sentiers piétons et cyclables
• la création d’aires d’accueil du public adaptées au site
De nombreuses études ont été réalisées sur le terrain (environnementales, acoustiques, géotechniques, topographiques…).
Elles constituent des bases essentielles pour définir un aménagement vertueux pour l’environnement et répondre aux attentes des usagers, avec :
• 1,8 hectare d’enrobé qui va être rendu à la nature (ancien circuit),
• 3 km de sentiers piétons aménagés pour de belles balades,
• 1 km de pistes cyclables supplémentaires,
• 190 places de parking aménagées dans le respect de l’environnement contre 130 places non conformes aujourd’hui.
La Ville des Sables d’Olonne propose aux Sablais de s’approprier le projet et de contribuer au programme : réunion publique, visites sur site, ateliers participatifs.
Rendez-vous, les :
JEUDI 15 JUIN
20H30, Salle Calixte Plissonneau
Réunion publique ouvert à tous
JEUDI 22 JUIN
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Oh My God: les cabines roses et bleues sont de retour !
Ells sont 30. Mais pour l’instant, elles ne sont que 7 à être installées.
Comme au moment du Printemps lorsque les fleurs mettent en avant leurs avantages, tous les ans en juin on peut voir réapparaître ces cabines avec leurs pétales roses et bleues.
Leurs formes, celles des premières cabines roulantes vers 1870, et surtout leurs couleurs ,font qu’elles ne passent pas inaperçues.
Certains se pâment devant leur beauté !
Ce qui est sûr, c’est qu’elles apportent un cachet passéiste – dans le bon sens du terme – merveilleux à la plage des Sables d’Olonne.
On peut y ajouter aussi une forme de nostalgie des temps passés, de cette époque révolue où l’on se baignait presque tout habillé, c’est-à-dire jusqu’à la cheville…
En montrer davantage était jugé inadmissible.
Autres temps, autres moeurs.
Bravo à ce concessionnaire qui perpétue la tradition !
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Les Sables-d’Olonne Vendée. Un consortium rachète Privilège Marine à HanseYachts
En mars 2022, nous avions rencontré Gilles Wagner, PDG de Privilège Marine, spécialisée sur le catamaran à voile, qui cherchait comme beaucoup d’autres entreprises du secteur nautisme à recruter.
La société (15.000 m2 couverts sur 25.000m2 de surface à Port-Olona) bénéficie pleinement de l’expension régulière du marché du nautisme (forte croissance du bateau à moteur et du catamaran à voile).
Le PDG était aussi déjà lancé dans une autre aventure, celle de retrouver toute son indépendance.
Revenons sur l’historique de la société
L’entreprise a été créée en 1985 par Philippe Jeantot, le fondateur du Vendée Globe.
En 1996, la société fonctionne sous l’égide d’Alliaura Marine. Le positionnement se porte sur le haut de gamme.
Vers 2007 – 2008, Alliaura quitte Les Sables d’Olonne pour Lorient malgré la volonté du département de la Vendée et de la Ville de le maintenir aux Sables.
En 2012, Privilège Marine est rachetée par deux associés dont Gilles Wagner; elle était dirigée depuis lors par Gilles Wagne qui revient aux sources, aux Sables d’Olonne.
La présence de l’entreprise aux Sables d’Olonne est un atout; elle bénéficie de l’image du Vendée Globe qui séduit et rassure certainement les acheteurs, provenant à ce jour de 35 différents pays au monde. Ce sont actuellement 850 bateaux fabriqués par Privilège qui naviguent sur les mers du monde entier.
En 2017, HanseYachts achète les parts de l’associé de Gilles Wagner.
Privilège Marine – Les Sables d’Olonne Vendée
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Le PDG était aussi déjà lancé dans une autre aventure, celle de retrouver toute son indépendance
Des transformations de capital sont souvent envisagées puis entérinées. Tous les arguments peuvent être invoqués: besoin de financements, besoin de diversification, souhait d’économies d’échelle, appui dans la commercialisation, support à l’exportation etc…
Mais, parfois, force est de constater que les synergies ne sont pas au rendez-vous. L’image peut aussi être différente, voire très différente. C’était le cas entre ces deux groupes: l’un sur un segment de très haut de gamme (Privilège) avec des constructions limitées, et HanseYachts visant au contraire des quotas impressionnants de 800 à 1000 bateaux par an avec une production industrielle de série et en s’appuyant sur des réseaux de revendeurs.
HanseYachts confirme avoir revendu Privilège
Hier, le lundi 17 octobre 2022, le PDG de Hanse Yachts, Hanjo Runde, a annoncé que la vente de Privilège Marine SAS avait été finalisée et qu’elle souhaitait se concentrer sur ses principales marques stratégiques. Un accord de reprise avait été signé en juin 2022.
C’est un consortium mené par le PDG Gilles Wagner qui a repris l’entreprise.
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Evolution du chiffre d’affaires (CA au 30 juin)
Le chiffre d’affaires de 2021 est de 12,7 millions d’€.
Celui prévu au 30 juin 2022 est de 16 millions d’€.
Au 30 juin 2023, 20 millions d’€ sont attendus.
Quant au carnet de commandes il était en mars 2022 de 60 millions d’€ (la fabrication d’une unité dure de 10 à 24 mois, mais en raison des commandes en cours, le délai est de minimum 24 mois).
Au début de l’année 2022, 25 catamarans étaient en cours de production.
Les ventes se font à 90% à l’export dont 60% hors d’Europe.
Le besoin de recrutement au début de 2022 était de de 50 salariés alors que la société en compte 230.
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Les modèles
4 bateaux principaux, de 15,2 à 23,7 mètres (51 pieds, 58 pieds, 64 pieds et 74 pieds).
Le prix voguent de 2 à 6,5 millions d’€:
– 51 pieds: 1,6 à 1,8 millions d’€
– 58 pieds: 2,6 à 3,2 millions d’€
– 64 pieds: 3,3 à 3,8 millions d’€
– 74 pieds: environ 5 millions d’€.
Privilège Marine – Les Sables d’Olonne Vendée
Gilles Wagner, PDG de Privilège Marine – Yannick Moreau, maire des Sables d’Olonne Vendée
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[author title= »Philippe Brossard-Lotz » image= »https://www.lereportersablais.com/wp-content/uploads/2018/09/Logo_LRS2.png »]Le Reporter sablais[/author]
Lancement de la campagne de donation 2022 pour « Le Reporter sablais »
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