Vendée. Violences conjugales: dispositif de transport (Rédaction Les Sables-d’Olonne)

 




 

Communiqué

Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes
signature de la convention « dispositif expérimental de prise en charge du transport de femmes victimes de violences conjugales en Vendée »

A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, Gérard Gavory, préfet de la Vendée, Christine Créance, présidente de l’association SOS Femmes et Thierry Soulard, président de Allo Radio taxi ont signé ce jeudi 25 novembre 2021 la convention « dispositif expérimental de prise en charge du transport de femmes victimes de violences conjugales en Vendée».

La persistance des violences sexistes et sexuelles, dont les femmes continuent d’être victimes, est intolérable dans un État de droit. Le Président de la République s’est personnellement engagé dès la première année de son mandat à lutter contre ces violences et a fait de l’égalité entre les femmes et les hommes la grande cause de son quinquennat.

Les violences faites aux femmes persistent et toutes les femmes sont touchées quel que soit leur âge, leur catégorie socio-professionnelle ou leur origine. Au 1er novembre 2021, 798 faits de violences conjugales ont été constatés par les forces de l’ordre en Vendée contre 970 faits en 2020 et 723 faits en 2019.

En 2020, les associations du département (SOS Femmes Vendée, CIDFF Vendée, Planning Familial 85 et France Victimes 85) avaient recensé 2 154 femmes victimes de violences faites aux femmes contre 1861 en 2019 et 1 275 en 2018.

Dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales, le Gouvernement a souhaité renforcer l’action publique là où les besoins sont les plus importants afin de répondre à la problématique de l’accès aux droits. Afin d’« aller vers » les victimes de violences conjugales des territoires ruraux du département et de pouvoir les accompagner dans le parcours de sortie de la violence, un dispositif expérimental de prise en charge des transports de ces femmes est mis en place en Vendée.

Destinée à faciliter la mobilité des femmes victimes de violences conjugales par la prise en charge des transports, cette convention, d’un an, signée entre l’État, l’association SOS Femmes Vendée (référent violences conjugales du département) et la compagnie de taxis « Allo RadioTaxi » vise à assurer le transport de femmes victimes de violences conjugales, vers :

  • un lieu d’hébergement d’urgence, de jour comme de nuit, association ou hôtels, mais également domicile de particuliers (famille, amis) ;
  • les permanences spécifiques violences conjugales de l’association SOS Femmes Vendée, qui fonctionnent dans 7 communes différentes du département et au sein du commissariat des Sables d’Olonne ;
  • les lieux d’examens (hôpitaux) ;
  • les brigades de gendarmerie et les commissariats de police, afin d’aider la victime dans son cheminement à déposer plainte ;
  • les tribunaux de justice, pour les besoins dans le cadre de la procédure judiciaire dans la phase initiale ;
  • exceptionnellement, des déplacements d’un département limitrophe à la Vendée pourront s’inscrire sur ce dispositif dans le cadre d’une mise à l’abri.

Initiée en partenariat avec les acteurs locaux est financé par l’État à hauteur de 4 000€, cette convention expérimentale vient renforcer les dispositifs existants de prévention et de prise en charge des victimes tels que le déploiement aux cotés des forces de sécurité d’intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie, du Téléphone Grave Danger (TGD),et du bracelet anti-rapprochement (BAR).

 

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 




 

 

 

 

Vendée. Jérôme Barbot devient Directeur de cabinet du nouveau Préfet Gérard Gavory (Rédaction Les Sables-d’Olonne)

 




 

Photo de Une: le préfet Gérard Gavory


Nominations au journal officiel – Préfecture de la Vendée

Par décret du Président de la République en date du 24 novembre 2021, M. Jérôme BARBOT,
administrateur civil, est nommé sous-préfet, directeur de cabinet du préfet de la Vendée.
La date de prise de fonctions sera communiquée très prochainement.

Par décret du Président de la République en date du 24 novembre 2021, Mme Carine ROUSSEL,
sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la Vendée, est nommée sous-préfète chargée de
mission auprès du préfet des Alpes-Maritimes.

 

Le Reporter sablais




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Nomination du préfet de la Vendée

Monsieur Gérard Gavory, préfet de la Manche, a été nommé aujourd’hui mercredi 3 novembre 2021 en conseil des ministres, en tant que préfet de la Vendée.

Il remplace Benoît Brocart qui a conservé son poste relativement longtemps – 4 années -. Son prédécesseur, Jean-Benoît Albertini, était lui aussi resté assez longtemps, quatre ans aussi.
A titre de comparaison Gérard Gavory n’est resté que deux ans au poste de Préfet de la Manche.

Gérard Gavory
Le nouveau préfet de la Vendée est né à Hazelbrouck en 1958.
Il est titulaire d’un DEA de droit public.
Il a été sous-Préfet du Val d’Oise, sous-Préfet de Calais, préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la région Rhône-Alpes, puis préfet de la Haute-Corse, et enfin préfet de la Manche.
Chevalier du Mérite agricole, Chevalier de l’Ordre National du Mérite et Chevalier de la Légion d’honneur.

C’est un passionné de cyclisme.

Biographie de Gérard Gavory:
01/02/1982 : Attaché de préfecture
01/01/1990 : Attaché principal de préfecture
01/09/1992 : Détaché au ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire – adjoint au chef du bureau des pensions et allocations d’invalidité à Draguignan (DPFAS)
16/04/1993 : Chef du bureau des pensions et allocations d’invalidité à Draguignan (DPFAS)
01/03/1996 : Administrateur civil de 2ème classe affecté au ministère de l’intérieur
01/11/1996 : Détaché en qualité de sous-préfet
01/11/1996 : Sous-préfet de 2ème classe, sous-préfet de Mirande
01/09/1998 : Secrétaire général de la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence
01/01/2000 : Administrateur civil de 1ère classe
03/09/2001 : Réintégré administrateur civil, mis à disposition de l’Union européenne en qualité d’expert national détaché (mobilité)
28/04/2002 : Reclassé administrateur civil
01/01/2004 : Administrateur civil hors classe
01/09/2004 : Sous-préfet de 2ème classe, directeur de cabinet du préfet du Val-d’Oise
03/09/2007 : Sous-préfet hors classe, sous-préfet de Calais (1re catégorie)
16/08/2010 : Secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes (classe fonctionnelle II)
09/02/2015 : Préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la région Rhône-Alpes, préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est, préfet du Rhône
03/08/2016 : Titularisé préfet
20/03/2017 : Préfet de la Haute-Corse
2019: Préfet de la Manche
2021: Préfet de la Vendée

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Benoit Brocart avait remplacé le préfet Jean-Benoît Albertini.

Biographie de Benoît Brocart:
Il a débuté dans la préfectorale en 1989, à sa sortie de l’ENA (Promotion Liberté Egalité Fraternité de 1989).
Directeur du cabinet du préfet de la Charente-Maritime en 1989, il devient sous-préfet dans l’Ain en 1990, à Nantua.
Il sera Secrétaire général de la préfecture de Haute-Loire en 1992.
Il est ensuite Chef de cabinet du ministre du Logement Hervé de Charette en 1993, et Directeur de cabinet du directeur de la sécurité civile au ministère de l’Intérieur (1993-1996).
Il devient Chef du bureau des personnels de l’administration centrale à la direction des personnels, de la formation et de l’action sociale du ministère de l’Intérieur en 1996, puis sous-directeur de l’administration et de l’édition à la direction de La Documentation française en 1999.
En 2002, on le retrouve en tant que sous-directeur du budget et de la comptabilité, puis des affaires financières à la Préfecture de Police de Paris.
De 2006 à 2010 il est Secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes.
Puis, Benoît Brocart fut préfet du Territoire-de-Belfort entre 2010 et 2012.
Il est ensuite nommé préfet de l’Allier à partir d’août 2012, avant d’être nommé directeur de l’immigration à la direction générale des étrangers au ministère de l’Intérieur.

– Formation: Sciences Po de 1982 à 85 / Licence de Droit de 1985 à 86 / ENA de 1987 à 1989 (voir ci-dessous les postes)
Postes:
– Sous-Directeur de l’Administration
 / Secrétariat général du Gouvernement -Direction de la Documentation Française 
déc. 1998 – déc. 2002
– Sous-Directeur des Affaires Financières
 / Préfecture de Police de Paris 
déc. 2002 – mars 2006
– Secrétaire Général de la Préfecture des Alpes-Maritimes à Nice
 / Ministère de l’Intérieur 
mars 2006 – juin 2010
– Préfet du Territoire de Belfort
 à Belfort / Ministère de l’Intérieur 
juin 2010 – juil. 2012
– Préfet de l’Allier
 à Moulins / Ministère de l’Intérieur 
août 2012 – avr. 2014
– Directeur de l’Immigration
 / Ministère de l’Intérieur 
mai 2014 – juillet 2017
– Préfet de Vendée à La Roche-sur-Yon depuis le 12 juillet 2017

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

Photo de Une: copyrights préfecture de la Haute-Corse.

 




 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

 

FRANCE

 

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables d’Olonne. VENDÉE Urgences médicales: le dispositif se met en place

 

 

 

 

Communiqué du Conseil départemental de la Vendée

Situation des urgences en Vendée

Le 29 octobre dernier, une délégation vendéenne composée de Bruno Retailleau, Sénateur, Alain Lebœuf, Président du Département, Antoine Chéreau, président du CHD et Nicolas Chénéchaud, Conseiller départemental délégué à la démographie médicale, rencontrait le Ministère des Solidarités et de la Santé pour demander la prise en compte des besoins des Vendéens en matière de santé, notamment sur le sujet de la situation des Urgences.

Le ministère avait pris deux engagements :
– Garantir le maillage et la pérennité des 7 services d’urgence que compte actuellement le département (La Roche-sur-Yon, Montaigu, Luçon, Les Sables d’Olonne, Fontenay- le-Comte, Challans ainsi que la clinique Saint-Charles à La Roche-sur-Yon) ;
– Accompagner, y compris financièrement, la mise en place expérimentale de centres de soins non programmés.

Aussi, afin de définir les modalités concrètes du déploiement opérationnel de ces centres, le Président du Département, Alain Lebœuf, a réuni ce vendredi 19 novembre au Conseil départemental de la Vendée, le Président du CHD, Antoine Chéreau, le Directeur général des Hôpitaux de Vendée, Francis Saint-Hubert, le Directeur territorial de l’ARS, Etienne Le Maigat, les Présidents des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS), ainsi que Nicolas Chénéchaud, Conseiller départemental délégué à la démographie médicale, pour une réunion de travail.

Ces centres, répartis sur l’ensemble du territoire vendéen, emploieront des médecins salariés financés par l’Etat via l’hôpital. Francis Saint-Hubert a insisté pour dire combien l’Hôpital serait facilitateur dans ce projet concerté. Ainsi, par le biais de conventions signées entre le CHD et les CPTS, le CHD assurera le salariat des médecins et sera un support juridique pour le transfert des financements entre l’Etat et les CPTS.

Etienne Le Maigat, a réaffirmé l’engagement financier de l’ARS et a annoncé pour la régulation de jour, indispensable au bon fonctionnement de ces centres de soins non programmés, un financement par l’ARS, à hauteur d’1 M€ dès le 1er janvier 2022. Chaque projet territorial de centre de soins non programmés bénéficiera d’un accompagnement financier de l’agence en conformité avec un cahier des charges en cours de stabilisation, a-t-il précisé.

Les centres de soins non programmés permettront de garantir aux Vendéens, notamment sans médecin traitant, un accès aux soins facilité et de soulager les médecins généralistes, souvent surchargés, ainsi que les services d’urgence des sites hospitaliers. Des créneaux de consultations seront ouverts en fonction de l’organisation de chaque CPTS.

Une feuille de route et un calendrier précis ont été établis et partagés par chacun des acteurs afin de permettre l’ouverture des centres dans les meilleurs délais. Une prochaine réunion permettant d’évaluer les premiers déploiements de ces centres de soins, a été planifiée le 25 janvier prochain à l’Hôtel du Département.

Tous les acteurs présents se sont félicités de l’excellent esprit de la réunion et des avancées très concrètes qui en ont résulté.

Signé par:
Antoine Chéreau – Alain Lebœuf – Nicolas Chénéchaud – Francis Saint-Hubert – Etienne Le Maigat

 

 

Le Reporter sablais

 



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Santé en Vendée. Il y a Urgence

Aujourd’hui, 24 septembre 2021, avait lieu la séance de vote des délibérations, et de clôture, de la session du Conseil départemental de la Vendée.

Le président du Conseil départemental, Alain Leboeuf, est revenu sur l’un des points qu’il avait plus qu’évoqué lundi lors de la séance inaugurale de la session.

Concernant les « Urgences » médicales il a constaté qu’il y avait eu beaucoup trop de dysfonctionnements cet été en Vendée.
Plus véhément, il a ajouté: « J’ai l’impression qu’on ne nous respecte pas ».

Ce sujet – médical et urgences -, dit-il, c’est le sujet du moment pour les Vendéens. On pointe du doigt: que fait le département , Que fait le maire ?  Comme si la défaillance des Urgences était du fait des élus. Alors que la santé est une prérogative de l’Etat.
Et donc, ce sujet, le Conseil départemental ne peut que s’en emparer !

Il laisse la parole à Anne-Marie Coulon, conseillère départementale et présidente de l’association des maires de Vendée, qui propose que soit votée une Motion relative à la situation des urgences en Vendée.

En voici le contenu (session du 24 septembre 2021)

Motion de l’Assemblée du Conseil départemental de la Vendée
relative à la situation des urgences en Vendée

« Les inquiétudes sont de plus en plus nombreuses autour du risque de fermeture des Urgences de Luçon et du SMUR en raison du manque de médecins urgentistes (fermeture ponctuelle du service de SMUR, fonctionnement dégradé du service des Urgences, notamment la nuit).

La situation dans les services d’Urgence en Vendée est de plus en plus préoccupante, non seulement à Luçon, mais aussi dans toute la Vendée. Pour preuve:
– le CHD, et donc la Fédération Médicale intra-hospitalière, a admis cet été un manque de médecins urgentistes à La Roche-sur-Yon, à Challans, aux Sables d’Olonne, à Fontenay-le-Comte, à Montaigu et à Luçon;
– les Urgences de Montaigu ont été fermées la nuit entre le 21 juillet et le 15 août 2021;
– aux Sables d’Olonne, déjà 5 nuits en fonctionnement dégradé aux Urgences depuis le 1er septembre dernier avec un manque de personnel criant (de 70 passages par jour à plus de 140 en période estivale);
– plus de 350 appels de 8h à 20h par jour au 116 117 cet été…

En Vendée, dans l’ensemble des services d’urgences, il manque 40 équivalents temps-plein de médecins urgentistes, dont 16 rien que pour le site de La Roche-sur-Yon.

Conséquence de ce manque, la Vendée compte 1 médecin urgentiste pour 5933 passages aux Urgences contre 1 médecin pour 3336 passages en Pays-de-la-Loire et 1 médecin pour 2619 passages en France.

Faire fonctionner les Urgences de Luçon en mode dégradé, c’est tout simplement mettre en danger les 70.000 habitants du bassin de vie (plus de 150.000 en saison estivale), c’est donner moins de chances aux urgences vitales et c’est aussi porter un coup au dynamisme et à l’attractivité du territoire (installation de nouveaux habitants, créations d’entreprises, création d’emplois…).

LES CONSEILLERS DÉPARTEMENTAUX DE LA VENDÉE

DÉPLORENT qu’avec près de 700.000 habitants, la Vendée soit l’un des département les moins bien dotés en nombre de médecins urgentistes.

REGRETTENT, une nouvelle fois, que les sapeurs-pompiers vendéens assurent un nombre croissant de transports de personne plus long et apparaissent comme des variables pour pallier les carences de l’Etat.

DEMANDENT à ce que la Vendée ne soit pas oubliée car les besoins de soins sont toujours plus importants en Vendée en raison, notamment, de la grande vitalité démographique du département et de la spécificité touristique du territoire.

EXPRIMENT une revendication donc à la fois simple et parfaitement légitime: le maintien des services de proximité des Urgences et du SMUR 7 jours sur 7 et 24h sur 24 sur le site de Luçon, mais aussi dans tous les hôpitaux de la Vendée. »

Alain Leboeuf reprend la parole: « Je ne supporte pas de découvrir les chiffres donnés ! Ainsi il y a 1 médecin urgentiste en Vendée pour 5933 passages contre 1 médecin urgentiste pour 2619 passages en France !!
Qu’est-ce qu’on a fait en Vendée pour être ainsi puni ! »

Nicolas Chénéchaud, délégué à la démographie médicale intervient. Il rappelle que la compétence Santé n’est ni municipale ni départementale mais relève de l’Etat. Mais c’est un sujet qui préoccupe les élus de Vendée.
Il déclare qu’il faut actionner tous les leviers possible et que résoudre ce problème est un challenge car la situation est problématique. En effet, le déficit de médecins généralistes se répercute sur les Urgences et crée un engorgement. Il faut tirer la sonnette d’alarme ! On doit se faire entendre !
Ce n’est pas une fatalité ajoute-t-il. Il faut agir auprès des internes – futurs médecins – avec un accompagnement fonction de chaque situation du territoire.

« Ça fait longtemps que l’on crie s’émeut Alain Leboeuf. Et voilà où nous en sommes. Eh oui ! le manque de généralistes fait que les habitants vont vers les Urgences qui sont alors débordées.
Et les Urgentistes, qui n’en peuvent plus, finissent par s’en aller.
Il va falloir que l’ARS nous entende », ajoute-t-il.

Florence Pineau rappelle le constat qui est fait aux Sables d’Olonne; 5 nuits depuis le début septembre 2021 se sont déroulées en mode dégradé. Et l’hôpital n’arrive plus à recruter ! Les Urgentistes ne viennent pas en Vendée, mais on ne sait pas pourquoi….

La discussion vient ensuite sur la nécessité de créer une antenne universitaire de formation de médecins en Vendée.
C’est alors Luc Bouard, le maire de La Roche-sur-Yon, qui sera le plus virulent. La raison ?
Lorsqu’il a fait une proposition d’antenne pour la création d’une formation de 1ère année de médecine auprès de la direction d’un CHU, on lui a fait comprendre, d’abord, que les jeunes étudiants n’iraient pas à La Roche-sur-Yon pour étudier. Et ensuite, qu’il n’y avait pas vraiment de désert médical en Vendée, que le problème provenait en fait « des Vendéens qui font un usage de la médecine qui est dépassé » (NDLR: il semblerait que cela puisse signifier que les Vendéens sont trop consommateurs de prestations médicales).
Luc Bouard raconte qu’il fut pour le moins stupéfait.

Depuis, il a créé un Centre médical municipal avec 5 médecins salariés plein temps (7 personnes), 2 maisons médicales, et a lancé des bourses pour faire venir des internes à La Roche-sur-Yon, tout en agissant pour fournir des logements décents à ces derniers.
Mais, il est contraint de faire le constat suivant: 7800 Yonnais sont sans médecins référents, et les internes en médecine, dès la fin de leur stage, repartent sur Nantes.
« On a l’impression d’être puni par notre faculté de Médecine et par l’ARS ».

Si Luc Bouard indique 7800 Yonnais sans médecin référents, le tableau est sombre aussi ailleurs.
5000 Sablais sans médecin référent
1300 à Fontenay-le-Comte
Plus de 1000 aux Herbiers
1500 à Challans
1000 à Luçon.

Alain Leboeuf: On ne peut pas entendre un dirigeant de CHU dire que la Vendée n’est pas en situation de désert médical ! Il va falloir que l’on obtienne une antenne universitaire sur la Vendée ! D’autres départements ayant moins d’habitants que la Vendée en ont. Il y a 700.000 habitants sans compter les hausses en période estivale !
Nous allons demander en urgence un rendez-vous au directeur de l’ARS.

Mise au vote de la motion: vote à l’unanimité

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

lereportersablais@gmail.com

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

 

FRANCE

 

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. Annick Billon réélue Présidente de l’UDI Vendée

 




 

Annick Billon a été réélue présidente de l’UDI Vendée

Ce samedi 20 novembre, l’UDI Vendée a procédé au renouvellement des instances départementales.

La sénatrice Annick Billon a été réélue présidente.
Gérard Hecht, adjoint au maire des Sables d’Olonne, est élu délégué départemental.

Lydie Bernard, conseillère régionale, Jacky Dallet, maire de Saint-André-Goule-d’Oie – également président de Vendée Eau et de la CC du pays de Saint-Fulgent Les Essarts – font partie des 8 membres qui composent le conseil départemental du parti centriste.

La présidente Annick Billon s’est dite « honorée de pouvoir représenter le centre-droit en Vendée, de proposer une alternative fondée sur les valeurs du centre, indépendant, démocrate et européen ».

Election présidentielle
À quelques mois des élections présidentielles, Annick Billon affirme la place de l’UDI pour mener les transformations profondes dont la France a besoin dans sa gouvernance, dans son administration, dans sa législation:
«
il est temps d’en finir avec tous les règlements qui freinent les initiatives au lieu de les libérer. Les problèmes d’accès aux soins font notamment partie des sujets prioritaires ».

« Attachés à la décentralisation, nous nous inscrivons en faveur des textes portés par le Sénat ».

(Les centristes étant des) fervents défenseurs d’une Europe, unie et forte, Annick Billon est convaincue que «l’Union Européenne, unie et forte, est seule apte à jouer un rôle sur l’échiquier mondial, à protéger les citoyens européens face aux enjeux économiques et climatiques de demain ».

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 




 

Les Sables d’Olonne. VENDÉE Urgences médicales: le dispositif se met en place

 

 

 

 

Communiqué du Conseil départemental de la Vendée

Situation des urgences en Vendée

Le 29 octobre dernier, une délégation vendéenne composée de Bruno Retailleau, Sénateur, Alain Lebœuf, Président du Département, Antoine Chéreau, président du CHD et Nicolas Chénéchaud, Conseiller départemental délégué à la démographie médicale, rencontrait le Ministère des Solidarités et de la Santé pour demander la prise en compte des besoins des Vendéens en matière de santé, notamment sur le sujet de la situation des Urgences.

Le ministère avait pris deux engagements :
– Garantir le maillage et la pérennité des 7 services d’urgence que compte actuellement le département (La Roche-sur-Yon, Montaigu, Luçon, Les Sables d’Olonne, Fontenay- le-Comte, Challans ainsi que la clinique Saint-Charles à La Roche-sur-Yon) ;
– Accompagner, y compris financièrement, la mise en place expérimentale de centres de soins non programmés.

Aussi, afin de définir les modalités concrètes du déploiement opérationnel de ces centres, le Président du Département, Alain Lebœuf, a réuni ce vendredi 19 novembre au Conseil départemental de la Vendée, le Président du CHD, Antoine Chéreau, le Directeur général des Hôpitaux de Vendée, Francis Saint-Hubert, le Directeur territorial de l’ARS, Etienne Le Maigat, les Présidents des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS), ainsi que Nicolas Chénéchaud, Conseiller départemental délégué à la démographie médicale, pour une réunion de travail.

Ces centres, répartis sur l’ensemble du territoire vendéen, emploieront des médecins salariés financés par l’Etat via l’hôpital. Francis Saint-Hubert a insisté pour dire combien l’Hôpital serait facilitateur dans ce projet concerté. Ainsi, par le biais de conventions signées entre le CHD et les CPTS, le CHD assurera le salariat des médecins et sera un support juridique pour le transfert des financements entre l’Etat et les CPTS.

Etienne Le Maigat, a réaffirmé l’engagement financier de l’ARS et a annoncé pour la régulation de jour, indispensable au bon fonctionnement de ces centres de soins non programmés, un financement par l’ARS, à hauteur d’1 M€ dès le 1er janvier 2022. Chaque projet territorial de centre de soins non programmés bénéficiera d’un accompagnement financier de l’agence en conformité avec un cahier des charges en cours de stabilisation, a-t-il précisé.

Les centres de soins non programmés permettront de garantir aux Vendéens, notamment sans médecin traitant, un accès aux soins facilité et de soulager les médecins généralistes, souvent surchargés, ainsi que les services d’urgence des sites hospitaliers. Des créneaux de consultations seront ouverts en fonction de l’organisation de chaque CPTS.

Une feuille de route et un calendrier précis ont été établis et partagés par chacun des acteurs afin de permettre l’ouverture des centres dans les meilleurs délais. Une prochaine réunion permettant d’évaluer les premiers déploiements de ces centres de soins, a été planifiée le 25 janvier prochain à l’Hôtel du Département.

Tous les acteurs présents se sont félicités de l’excellent esprit de la réunion et des avancées très concrètes qui en ont résulté.

Signé par:
Antoine Chéreau – Alain Lebœuf – Nicolas Chénéchaud – Francis Saint-Hubert – Etienne Le Maigat

 

 

Le Reporter sablais

 



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Santé en Vendée. Il y a Urgence

Aujourd’hui, 24 septembre 2021, avait lieu la séance de vote des délibérations, et de clôture, de la session du Conseil départemental de la Vendée.

Le président du Conseil départemental, Alain Leboeuf, est revenu sur l’un des points qu’il avait plus qu’évoqué lundi lors de la séance inaugurale de la session.

Concernant les « Urgences » médicales il a constaté qu’il y avait eu beaucoup trop de dysfonctionnements cet été en Vendée.
Plus véhément, il a ajouté: « J’ai l’impression qu’on ne nous respecte pas ».

Ce sujet – médical et urgences -, dit-il, c’est le sujet du moment pour les Vendéens. On pointe du doigt: que fait le département , Que fait le maire ?  Comme si la défaillance des Urgences était du fait des élus. Alors que la santé est une prérogative de l’Etat.
Et donc, ce sujet, le Conseil départemental ne peut que s’en emparer !

Il laisse la parole à Anne-Marie Coulon, conseillère départementale et présidente de l’association des maires de Vendée, qui propose que soit votée une Motion relative à la situation des urgences en Vendée.

En voici le contenu (session du 24 septembre 2021)

Motion de l’Assemblée du Conseil départemental de la Vendée
relative à la situation des urgences en Vendée

« Les inquiétudes sont de plus en plus nombreuses autour du risque de fermeture des Urgences de Luçon et du SMUR en raison du manque de médecins urgentistes (fermeture ponctuelle du service de SMUR, fonctionnement dégradé du service des Urgences, notamment la nuit).

La situation dans les services d’Urgence en Vendée est de plus en plus préoccupante, non seulement à Luçon, mais aussi dans toute la Vendée. Pour preuve:
– le CHD, et donc la Fédération Médicale intra-hospitalière, a admis cet été un manque de médecins urgentistes à La Roche-sur-Yon, à Challans, aux Sables d’Olonne, à Fontenay-le-Comte, à Montaigu et à Luçon;
– les Urgences de Montaigu ont été fermées la nuit entre le 21 juillet et le 15 août 2021;
– aux Sables d’Olonne, déjà 5 nuits en fonctionnement dégradé aux Urgences depuis le 1er septembre dernier avec un manque de personnel criant (de 70 passages par jour à plus de 140 en période estivale);
– plus de 350 appels de 8h à 20h par jour au 116 117 cet été…

En Vendée, dans l’ensemble des services d’urgences, il manque 40 équivalents temps-plein de médecins urgentistes, dont 16 rien que pour le site de La Roche-sur-Yon.

Conséquence de ce manque, la Vendée compte 1 médecin urgentiste pour 5933 passages aux Urgences contre 1 médecin pour 3336 passages en Pays-de-la-Loire et 1 médecin pour 2619 passages en France.

Faire fonctionner les Urgences de Luçon en mode dégradé, c’est tout simplement mettre en danger les 70.000 habitants du bassin de vie (plus de 150.000 en saison estivale), c’est donner moins de chances aux urgences vitales et c’est aussi porter un coup au dynamisme et à l’attractivité du territoire (installation de nouveaux habitants, créations d’entreprises, création d’emplois…).

LES CONSEILLERS DÉPARTEMENTAUX DE LA VENDÉE

DÉPLORENT qu’avec près de 700.000 habitants, la Vendée soit l’un des département les moins bien dotés en nombre de médecins urgentistes.

REGRETTENT, une nouvelle fois, que les sapeurs-pompiers vendéens assurent un nombre croissant de transports de personne plus long et apparaissent comme des variables pour pallier les carences de l’Etat.

DEMANDENT à ce que la Vendée ne soit pas oubliée car les besoins de soins sont toujours plus importants en Vendée en raison, notamment, de la grande vitalité démographique du département et de la spécificité touristique du territoire.

EXPRIMENT une revendication donc à la fois simple et parfaitement légitime: le maintien des services de proximité des Urgences et du SMUR 7 jours sur 7 et 24h sur 24 sur le site de Luçon, mais aussi dans tous les hôpitaux de la Vendée. »

Alain Leboeuf reprend la parole: « Je ne supporte pas de découvrir les chiffres donnés ! Ainsi il y a 1 médecin urgentiste en Vendée pour 5933 passages contre 1 médecin urgentiste pour 2619 passages en France !!
Qu’est-ce qu’on a fait en Vendée pour être ainsi puni ! »

Nicolas Chénéchaud, délégué à la démographie médicale intervient. Il rappelle que la compétence Santé n’est ni municipale ni départementale mais relève de l’Etat. Mais c’est un sujet qui préoccupe les élus de Vendée.
Il déclare qu’il faut actionner tous les leviers possible et que résoudre ce problème est un challenge car la situation est problématique. En effet, le déficit de médecins généralistes se répercute sur les Urgences et crée un engorgement. Il faut tirer la sonnette d’alarme ! On doit se faire entendre !
Ce n’est pas une fatalité ajoute-t-il. Il faut agir auprès des internes – futurs médecins – avec un accompagnement fonction de chaque situation du territoire.

« Ça fait longtemps que l’on crie s’émeut Alain Leboeuf. Et voilà où nous en sommes. Eh oui ! le manque de généralistes fait que les habitants vont vers les Urgences qui sont alors débordées.
Et les Urgentistes, qui n’en peuvent plus, finissent par s’en aller.
Il va falloir que l’ARS nous entende », ajoute-t-il.

Florence Pineau rappelle le constat qui est fait aux Sables d’Olonne; 5 nuits depuis le début septembre 2021 se sont déroulées en mode dégradé. Et l’hôpital n’arrive plus à recruter ! Les Urgentistes ne viennent pas en Vendée, mais on ne sait pas pourquoi….

La discussion vient ensuite sur la nécessité de créer une antenne universitaire de formation de médecins en Vendée.
C’est alors Luc Bouard, le maire de La Roche-sur-Yon, qui sera le plus virulent. La raison ?
Lorsqu’il a fait une proposition d’antenne pour la création d’une formation de 1ère année de médecine auprès de la direction d’un CHU, on lui a fait comprendre, d’abord, que les jeunes étudiants n’iraient pas à La Roche-sur-Yon pour étudier. Et ensuite, qu’il n’y avait pas vraiment de désert médical en Vendée, que le problème provenait en fait « des Vendéens qui font un usage de la médecine qui est dépassé » (NDLR: il semblerait que cela puisse signifier que les Vendéens sont trop consommateurs de prestations médicales).
Luc Bouard raconte qu’il fut pour le moins stupéfait.

Depuis, il a créé un Centre médical municipal avec 5 médecins salariés plein temps (7 personnes), 2 maisons médicales, et a lancé des bourses pour faire venir des internes à La Roche-sur-Yon, tout en agissant pour fournir des logements décents à ces derniers.
Mais, il est contraint de faire le constat suivant: 7800 Yonnais sont sans médecins référents, et les internes en médecine, dès la fin de leur stage, repartent sur Nantes.
« On a l’impression d’être puni par notre faculté de Médecine et par l’ARS ».

Si Luc Bouard indique 7800 Yonnais sans médecin référents, le tableau est sombre aussi ailleurs.
5000 Sablais sans médecin référent
1300 à Fontenay-le-Comte
Plus de 1000 aux Herbiers
1500 à Challans
1000 à Luçon.

Alain Leboeuf: On ne peut pas entendre un dirigeant de CHU dire que la Vendée n’est pas en situation de désert médical ! Il va falloir que l’on obtienne une antenne universitaire sur la Vendée ! D’autres départements ayant moins d’habitants que la Vendée en ont. Il y a 700.000 habitants sans compter les hausses en période estivale !
Nous allons demander en urgence un rendez-vous au directeur de l’ARS.

Mise au vote de la motion: vote à l’unanimité

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

lereportersablais@gmail.com

 

 

 

Puy-du-Fou Vendée. INEDIT: le Puy du Fou lance un remake français de l’Orient-Express (Rédaction Les Sables-d’Olonne)

 


 

 

INEDIT: le Puy du Fou lance un remake français de l’Orient-Express !

Le Puy du Fou lance « Le Grand Tour » 1ère compagnie ferroviaire privée de France.

Aujourd’hui, le Puy du Fou crée Le Grand Tour, le spectacle le plus audacieux jamais imaginé, embarquant ses voyageurs-spectateurs pendant six jours et cinq nuits dans un Grand Tour à la découverte des splendeurs françaises.

Il s’agira pour le Puy du Fou de faire vivre à 30 voyageurs par semaine le plus spectaculaire et le plus poétique des voyages dans l’espace et dans le temps, dans la géographie et dans l’Histoire.
La date du premier sifflet de ce train sera l’été 2023.

Après la surprise du thème sur le cinéma cinéma, le Puy du Fou se lance dans une nouvelle aventure, le tourisme en train.
Une étonnante surprise. Il est vrai que les équipes de direction du Puy du Fou aiment bien garder les secrets de leurs projets jusqu’au dernier moment.


L’AUDACE D’UNE PREMIÈRE HISTORIQUE
C’est la première fois dans l’Histoire qu’une compagnie ferroviaire 100% privée va transporter des voyageurs sur le réseau ferré national français tout au long de l’année.
Jusqu’à ce jour, la SNCF et les compagnies opérant sur les chemins de fer de France sont toutes publiques ou semi-publiques.

A la faveur de la loi ouvrant le 1er janvier 2021 les lignes nationales à la concurrence, le Puy du Fou crée la première compagnie ferroviaire d’envergure nationale depuis près d’un siècle – date de la naissance de la SNCF (1938) – capable de transporter des voyageurs. 

Travaillant en étroite collaboration avec SNCF Réseau, les équipes du Puy du Fou ont défini un tour de France jalonné d’escales choisies, au service d’une grande histoire mise en scène. 

 

 LE PLUS LONG SPECTACLE JAMAIS IMAGINÉ
C’est le plus long spectacle jamais créé, avec une aventure de six jours et cinq nuits dans les lieux les plus emblématiques de France, rythmée par des surprises et des émerveillements, bercée d’histoires et de légendes.

Pour ce spectacle unique, le Puy du Fou a conçu le théâtre le plus extravagant et le plus insolite jamais inventé, un authentique train Belle Époque grandeur nature, qui va embarquer ses voyageurs pour un spectacle de 4000 km, à la découverte des splendeurs et des merveilles qui font la richesse et le charme de la France.

LE GRAND TOUR, LA FRANCE EST NOTRE PLUS GRAND SPECTACLE
A l’instar des plus célèbres artistes qui ont façonné l’esprit français, nos voyageurs vivront le Grand Tour. C’est le nom donné, dès le XVIème siècle, à l’ultime parcours initiatique assurant aux jeunes femmes et jeunes hommes  de parfaire leur éduction à la découverte des arts les plus raffinés et des hauts lieux de France et d’Europe. Ils marchaient ainsi dans les pas des personnages illustres et des grandes figures qui ont marqué ces endroits de légende, pour ressentir de toute leur âme combien la culture et les arts ont façonné notre civilisation.

A bord de son train spectaculaire, le Puy du Fou mettra en scène la France et son art de vivre dans un inoubliable voyage.
De la Champagne à la Bourgogne, du Lac d’Annecy au Bassin d’Arcachon, du Palais des Papes d’Avignon aux Châteaux de la Loire, chaque escale est l’occasion de rencontrer des grandes figures et des personnages historiques, et de vivre des émotions uniques, avec en point d’orgue du voyage, le Puy du Fou.

LE CHARME DÉLICIEUX DE LA BELLE EPOQUE
« Dessiné pour l’enchantement des sens, notre train est une véritable œuvre d’art. Pensé comme un théâtre en mouvement, il allie le grand confort au merveilleux décor de la Belle Époque. Du service à bord costumé au souci du détail esthétique en chaque chose, tout nous invite à retrouver l’âge d’or du train, devenu l’écrin de nos plus belles émotions.
L’agencement feutré et plaisant des cabines rivalise avec l’ambiance chaleureuse de la voiture bar et les couleurs chatoyantes des voitures-restaurants. Salon le jour, votre cabine se métamorphose la nuit en une chambre confortable et harmonieuse, pensée pour embellir vos rêves et enchanter vos jours » précise la direction du Puy du Fou. 

 

LE GRAND TOUR EN CHIFFRES :
– 6 jours et 5 nuits de voyage
– 4000 kilomètres de spectacle
– 30 voyageurs par semaine, soit 600 voyageurs attendus en 2023
– 15 cabines tout confort (salle de bain avec douche et toilettes privées) de 10 à 30 m2 chacune
– 15 membres d’équipage
– 2 voitures-restaurants gastronomiques et 1 voiture bar

 

Voyage de 6 jours et 5 nuits, à partir de 4900 euros/personne, tout inclus.
Dès sa réservation effective, un ambassadeur du Grand Tour prend attache avec le voyageur pour personnaliser son voyage.
Préréservation: www.legrandtour.com

 

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

 

 


 

Les Sables-d’Olonne Vendée. Annick Billon réélue Présidente de l’UDI Vendée

 




 

Annick Billon a été réélue présidente de l’UDI Vendée

Ce samedi 20 novembre, l’UDI Vendée a procédé au renouvellement des instances départementales.

La sénatrice Annick Billon a été réélue présidente.
Gérard Hecht, adjoint au maire des Sables d’Olonne, est élu délégué départemental.

Lydie Bernard, conseillère régionale, Jacky Dallet, maire de Saint-André-Goule-d’Oie – également président de Vendée Eau et de la CC du pays de Saint-Fulgent Les Essarts – font partie des 8 membres qui composent le conseil départemental du parti centriste.

La présidente Annick Billon s’est dite « honorée de pouvoir représenter le centre-droit en Vendée, de proposer une alternative fondée sur les valeurs du centre, indépendant, démocrate et européen ».

Election présidentielle
À quelques mois des élections présidentielles, Annick Billon affirme la place de l’UDI pour mener les transformations profondes dont la France a besoin dans sa gouvernance, dans son administration, dans sa législation:
«
il est temps d’en finir avec tous les règlements qui freinent les initiatives au lieu de les libérer. Les problèmes d’accès aux soins font notamment partie des sujets prioritaires ».

« Attachés à la décentralisation, nous nous inscrivons en faveur des textes portés par le Sénat ».

(Les centristes étant des) fervents défenseurs d’une Europe, unie et forte, Annick Billon est convaincue que «l’Union Européenne, unie et forte, est seule apte à jouer un rôle sur l’échiquier mondial, à protéger les citoyens européens face aux enjeux économiques et climatiques de demain ».

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 




 

Les Sables-d’Olonne Vendée. Un tarif plus conforme pour l’antenne TDF des Roses

 




 

 

Un accord avait été signé le 24 novembre 1997 entre la Ville des Sables d’Olonne et Télédiffusion de France (TDF) pour l’installation et l’exploitation d’un pylône-antenne de relais téléphonique.
Et cela sur une parcelle de 271 m2 appartenant à la Ville des Sables d’Olonne, située Impasse Pasteur dans le quartier des Roses.

Nouveau bail
Bien que le bail actuel n’arrive à échéance que le 30 juin 2024, TDF – dans le souci de pérenniser l’engagement sur cet emplacement – a sollicité la Ville dès maintenant pour la conclusion d’un nouveau bail.

La durée du nouvel engagement est de 20 ans à compter du 30 juin 2024, les reconductions éventuelle suivantes s’efefctuant par période de dix ans.

Tarifs
Le loyer actuellement payé par TDF, au titre de l’année 2020, s’élève (seulement) à 1 016, 92 € TTC.
Le nouvel accord change fondamentalement le tarif.

Ainsi, à partir du 30 juin 2024, le loyer tiendra compte du nombre des opérateurs profitant de l’antenne-relais.
A ce jour est constaté la présence de:
– 3 opérateurs de communications électroniques;
– et de 6 Mux TNT.

Rappelons que les installations comprennent un pylône d’une hauteur d’environ 40m, une dalle technique au sol, un bâtiment technique d’une superficie de 50m2.

Le tarif sera décomposé selon la formule suivante:
–  une partie fixe, couvrant la location et l’utilisation du site, d’un montant de cinq mille Euros (5 000 €),
–  une partie variable forfaitaire, calculée en fonction du nombre d’opérateurs de Communications électroniques justifiant d’un contrat d’accueil et/ou commercial avec TDF et ayant la propriété d’équipements installés fournissant un service de téléphonie mobile au public, d’un montant trois mille Euros (3 000 €) par opérateur soit 9000 €,
–  une autre partie variable forfaitaire, calculée en fonction du nombre de MUX (multiplex)TNT ou RNT, d’un montant de mille Euros (1 000 €) par MUX soit 6000 €.

Le futur loyer, selon le nombre d’opérateurs connus à ce jour, s’élèvera donc à vingt mille Euros (20 000 €) net.

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais